GeoNet, le service de surveillance sismique néozélandais, a mis en garde contre des répliques après ce séisme d’une « intensité grave ».
Les sirènes ont retenti à Christchurch, où au moins un édifice a été évacué, selon des médias. Les services d’urgence ont précisé ne pas avoir connaissance de dommages sur la structure des bâtiments.
Le séisme s’est produit à une semaine du cinquième anniversaire d’un tremblement de terre de magnitude 6,3 qui avait également touché Christchurch, causant la mort de 185 personnes.
L’épicentre du séisme de dimanche est situé à une profondeur d’environ 8 km et à 17 km à l’ouest de la ville.
« Ce séisme est trop faible pour avoir causé un tsunami », a indiqué la porte-parole de Geonet, Caroline Little.
La Nouvelle-Zélande est située sur la « Ceinture de feu » du Pacifique où les plaques continentales entrent fréquemment en collision provoquant une importante activité sismique.
Le pays subit environ 15.000 secousses par an, dont une moyenne de 2,5 séismes d’une magnitude d’au moins 6.
Les sirènes ont retenti à Christchurch, où au moins un édifice a été évacué, selon des médias. Les services d’urgence ont précisé ne pas avoir connaissance de dommages sur la structure des bâtiments.
Le séisme s’est produit à une semaine du cinquième anniversaire d’un tremblement de terre de magnitude 6,3 qui avait également touché Christchurch, causant la mort de 185 personnes.
L’épicentre du séisme de dimanche est situé à une profondeur d’environ 8 km et à 17 km à l’ouest de la ville.
« Ce séisme est trop faible pour avoir causé un tsunami », a indiqué la porte-parole de Geonet, Caroline Little.
La Nouvelle-Zélande est située sur la « Ceinture de feu » du Pacifique où les plaques continentales entrent fréquemment en collision provoquant une importante activité sismique.
Le pays subit environ 15.000 secousses par an, dont une moyenne de 2,5 séismes d’une magnitude d’au moins 6.
AFP