Ce câble qui relie Fidji à Samoa et les îles de Wallis-et-Futuna, va permettre « un réel désenclavement numérique pour les citoyens de Wallis et Futuna, avec des conséquences directes sur le développement de l’archipel, en matière de télémédecine, de formation à distance, d’administration en ligne et d’économie locale », salue le ministère.
Selon Wallis-et-Futuna 1ère, ce câble offrira « un débit de 50 gigabits par seconde », soit « 100 000 fois le débit actuel offert par la liaison satellite ».
Il est financé en partie par l’État, l’Union Européenne et l’Agence Française de Développement