Il s’agissait notamment d’élargir le champ d’application de la délibération à l’exploitation des ressources aquatiques vivantes dans les eaux douces, les eaux intérieures, la mer territoriale ainsi que dans la zone économique exclusive située au large des côtes de la Polynésie française, dans le respect des engagements internationaux. Il a été question de :
- réactualiser les noms scientifiques de certaines espèces ;
- prendre en compte d’autres espèces qui ne l’étaient pas jusqu’à présent ;
- permettre une meilleure identification de ces espèces lors des contrôles.
Les modifications ont eu aussi pour but l’élargissement des règles de pêche à :
- cinq espèces de langoustes (du genre Panulirus) ;
- trois espèces de cigales de mer (du genre Parribacus) ;
- deux espèces de squilles « varo » (du genre Lysiosquillina) ;
- trois espèces de chevrettes (du genre Macrobrachium) ;
- et enfin deux espèces de bénitiers (du genre Tricdacna).
Avec communiqué de presse