Échoué sur le récif à Arutua il y a deux semaines, Le Morning Dove a été visité par deux équipes d’intervention. L’objectif premier : procéder à son déséchouage. Pour ce faire, un expert s’est rendu sur le voilier pour faire l’état des lieux du Morning Dove. Pour Dominique Goche, sauveteur professionnel, le premier constat est désolant : « Ça fait mal au ventre de voir un bateau dans cet état là, ce qui fait encore plus mal au ventre c’est de voir à quel point le bateau a été pillé en quelques jours, j’ai rarement vu ça sur un récif. Après au-delà de ça, il faut trouver les moyens techniques pour pouvoir dégager le bateau », a-t-il déclaré au micro de Tahiti Nui Télévision.
Face à l’étendue des travaux de renflouage, d’extraction et de réparation, et au coût que cela représenterait, l’expert maritime qui supervise l’opération en accord avec le propriétaire, décide de faire couler le bateau. « Toute cette matinée est consacrée à dépolluer le bateau, et à le débarrasser de tous les produits dangereux comme les batteries, les huiles, tout ce qui pourrait à un moment donné ou à un autre, se répandre sur le récif ou dans l’océan », a confié Patrice Beusher, propriétaire du voilier.
C’est ainsi qu’un gros travail de dépollution s’est organisé. Une fois dépollué et renfloué, le thonier Moorea Tautai a permis au voilier de sombrer à plus de 500 mètres des fonds de Arutua.
Face à l’étendue des travaux de renflouage, d’extraction et de réparation, et au coût que cela représenterait, l’expert maritime qui supervise l’opération en accord avec le propriétaire, décide de faire couler le bateau. « Toute cette matinée est consacrée à dépolluer le bateau, et à le débarrasser de tous les produits dangereux comme les batteries, les huiles, tout ce qui pourrait à un moment donné ou à un autre, se répandre sur le récif ou dans l’océan », a confié Patrice Beusher, propriétaire du voilier.
C’est ainsi qu’un gros travail de dépollution s’est organisé. Une fois dépollué et renfloué, le thonier Moorea Tautai a permis au voilier de sombrer à plus de 500 mètres des fonds de Arutua.
Rédaction Web (Interview : Rony Mou Fat)