Piquets de grèves, barrages filtrants, La Dépêche et deux de ses filiales tournent encore au ralenti depuis jeudi. Le syndicat CSIP vient de rencontrer Michel Yonker, qui représentait la direction. Et les nouvelles ne sont pas très rassurantes pour les 15 salariés de l’imprimerie. Leur activité devrait cesser le 4 décembre.
Pour Cyril Legayic, secrétaire général de la CSIP, aucun article ne prévoit la reprise du personnel de l’imprimerie et quinze salariés resteront sur le carreau. « Aucune opportunité ne permet au groupe de les reclasser, il y a donc un risque de licenciement pour raisons économiques. »
Le syndicat prévoit d’agir au tribunal pour annuler l’accord commercial entre le groupe de Dominique Auroy et de la société Pacific Press de Papara d’Albert Moux, chez qui le quotidien devrait être imprimé dorénavant. Il propose aussi à la direction de trouver une solution afin d’intégrer dans l’accord commercial la reprise du personnel.
Les grévistes vont donc patienter encore quelques jours sous le chapiteau. Au premier étage, les journalistes, les secrétaires de rédaction et les monteurs ont repris le travail.
« Nous avons trouvé un accord avec le syndicat O Oe To Oe Rima sur de très nombreux points et un protocole de sortie de grève a été signé et on attend que la CSIP mette sa signature sur ce protocole. De fait, ce matin 90% de la rédaction est présente ce matin. Nos journalistes sont sur le terrain, reste que nous ne sommes pas imprimés. L’imprimerie est encore en négociation, il y a des inquiétudes. » explique Bertrand Prévost, directeur des rédactions, pour qui la Dépêche continue de tourner, se renforçant en journalistes et ayant de nouvelles idées et de nouvelles rubriques pour l’année prochaine.
Et si la Dépêche n’est pas imprimée ce lundi, elle sera mise à disposition des lecteurs gratuitement dès mardi sur le web.
Pour Cyril Legayic, secrétaire général de la CSIP, aucun article ne prévoit la reprise du personnel de l’imprimerie et quinze salariés resteront sur le carreau. « Aucune opportunité ne permet au groupe de les reclasser, il y a donc un risque de licenciement pour raisons économiques. »
Le syndicat prévoit d’agir au tribunal pour annuler l’accord commercial entre le groupe de Dominique Auroy et de la société Pacific Press de Papara d’Albert Moux, chez qui le quotidien devrait être imprimé dorénavant. Il propose aussi à la direction de trouver une solution afin d’intégrer dans l’accord commercial la reprise du personnel.
Les grévistes vont donc patienter encore quelques jours sous le chapiteau. Au premier étage, les journalistes, les secrétaires de rédaction et les monteurs ont repris le travail.
« Nous avons trouvé un accord avec le syndicat O Oe To Oe Rima sur de très nombreux points et un protocole de sortie de grève a été signé et on attend que la CSIP mette sa signature sur ce protocole. De fait, ce matin 90% de la rédaction est présente ce matin. Nos journalistes sont sur le terrain, reste que nous ne sommes pas imprimés. L’imprimerie est encore en négociation, il y a des inquiétudes. » explique Bertrand Prévost, directeur des rédactions, pour qui la Dépêche continue de tourner, se renforçant en journalistes et ayant de nouvelles idées et de nouvelles rubriques pour l’année prochaine.
Et si la Dépêche n’est pas imprimée ce lundi, elle sera mise à disposition des lecteurs gratuitement dès mardi sur le web.
Rédaction web avec Esther Parau-Cordette