Une fois fait, les participants auront jusqu’à 14 heures pour consulter les offres, et après elles seront mise en ligne sur la page Facebook de l’association et cela uniquement pour les participants. « L’idée c’est de faire un exercice solidaire, à savoir, les 200 participants cherchent des offres pour les 200 participants et après ils pourront pendant une quinzaine de jours avoir la priorité pour candidater sur ses offres. »
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L’intérêt de la démarche est de faire une partie du travail des entreprises. « Ce que vont faire les participants, c’est quand ils vont rencontrer les entreprises, ils vont remplir une fiche de proposition de poste, comme l’employeur le ferait à destination du Séfi. Et donc l’employeur a tout intérêt à donner ses offres aux participants, cela lui fait du travail en moins. »
Sauf qu’à priori, il semblerait que les entreprises visitées soient dépourvues d’emplois à proposer. « C’est très difficile, mais on reste quand même motivé. On va continuer à chercher ces emplois cachés » explique Hirau, l’un des participants. Sur les six entreprises qu’ils ont visitées, aucune n’a proposé de job, mais ont accepté de remplir le papier, preuve qu’elles ont été démarchées par ces jeunes prêt à tout pour trouver un emploi.
Bilan de la matinée: En deux heures de prospection, les participants, répartis en 50 groupes de 4, ont rencontré 690 entreprises situées entre Pirae et Punaauia, et ont pu collecter 140 offres d’emploi.