Reste que cette décision n’a pas apaisé les tensions pour autant…. Bruno Faatoa ne décolère pas. Il reproche aux conseillers municipaux d’avoir profité de son absence, lors du conseil du 17 février 2017, pour retirer la subvention de quatre millions de francs qui avait été accordée à Takume, pour la construction d’une centrale électrique
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Le 6 avril dernier, en représailles, il menaçait de fermer les mairies de Raroia, Takume, Nihiru et Taenga, le jour de l’élection présidentielle, privant ainsi quelques 500 habitants du droit de s’exprimer démocratiquement.
Cette menace n’a finalement pas été mise à exécution. « On ne peut pas suivre Bruno, on a reçu des directives de la part de l’Etat » indique la mairesse de Takume-Raroia, Ana Flores. Elle précise : « Ce sont des histoires qui concernent Bruno et Felix, il ne faut pas mettre la population dedans. C’est notre droit de voter pour un président. »