Aujourd’hui, il en maîtrise une douzaine. « Le son de ma musique, c’est la voix de la mer, la voie de la trompette, le langage de la terre, un langage accessible à tous, facile à écouter, explique-t-il. Un langage qui revêt une grande importance pour nous. On a besoin des oiseaux, du bois, de la pierre, du poisson, de la pieuvre, de la raie ou de la baleine. Nous faisons partie d’un ensemble et il est important que nous prenions soin de notre monde. »
> Une flûte en patte de langouste
> Le putatara
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> Le koauau