Une thèse dont doute aujourd’hui la justice qui estime qu’il pourrait s’agir d’un meurtre, maquillé.
Le corps de la victime, âgée de 38 ans, avait été exhumé pour procéder à une autopsie. Qui n’a pas été parlante. De nouvelles analyses doivent être pratiquées sur la dépouille du défunt pour tenter de déterminer avec précision les causes de sa mort.
Sa compagne a été incarcérée à Nuutania une fois sa mise en examen signifiée. La jeune femme a demandé un délai pour préparer sa défense devant le juge des libertés et de la détention chez qui elle est attendue la semaine prochaine. Son avocate demandera sa remise en liberté.
Quant à ses deux sœurs, suspectées de l’avoir aidée dans sa funeste entreprise, elles ont été placées sous le statut de simples témoins assistés. Elles ont donc pu quitter libres le palais de justice.
C’est la mère de la victime qui avait alerté les autorités car ne croyant pas au suicide de son fils. Elle aurait en outre obtenu des confidences de ses petits-enfants confirmant ses doutes. L’enquête se poursuit.