Windsurf : une délégation de Raiatea réalise de belles performances au Japon

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Une délégation de huit windsurfeurs de Raiatea a participé, le week-end dernier, au Défi Wind Japan, sur l'île de Miyako. Ils ont fini dans le top 10 de leurs catégories respectives, dont quatre sur le podium.

Publié le 06/02/2020 à 16:50 - Mise à jour le 06/02/2020 à 17:02

Une délégation de huit windsurfeurs de Raiatea a participé, le week-end dernier, au Défi Wind Japan, sur l'île de Miyako. Ils ont fini dans le top 10 de leurs catégories respectives, dont quatre sur le podium.

Les huit windsurfeurs de Raiatea ont réalisé de belles performances, le week-end dernier sur le plan d’eau de l’archipel de Miyako, à l’occasion du Défi Wind Japan, une compétition qui regroupe une trentaine de nations.

Antoine Audran est arrivé 2e en junior et 33e sur 108 au classement général.

Elois Audran a fini 5e en junior et 52e au général.

Mathilde Zampieri est arrivée 11e en femme overall et 6e en pro.

Alex Decian termine 2e en vétéran et 62e au classement général.

Félix Chambon a fini 6e en junior et 69e au général.

Emma Mathieu est 7e en junior, 1re en junior fille et 70e au général.

Lila Gérard est arrivée 8e en junior, 2e en junior fille et 76e au général.

Enfin, Mathieu Michaux, tenant du titre en junior, avait largement le potentiel pour aller chercher un podium encore cette année, mais a malheureusement été disqualifié pour faux départ.

« Globalement ça s’est super bien passé, a commenté la championne Mathilde Zampieri. On a pu faire qu’une seule course, parce qu’il n’y avait pas trop de vent au début. Mais on a eu deux podiums, c’est super. C’est un bilan qui est hyper positif pour toute l’équipe. Les jeunes ont super bien navigué, en plus pour la plupart c’était leur première compétition. Le plus jeune a 13 ans et il a fait l’un des meilleurs résultats. Donc vraiment que du positif, c’est à refaire ! »

La délégation rentre au fenua ce week-end et reprendra les entraînements dès son retour sur l’île Sacrée.

Ils espèrent pouvoir participer à un autre défi, « à Bonaire ou en France », mais « on verra qui peut parce que ce sont de gros déplacements, c’est difficile de s’organiser pour que tout le monde puisse venir », conclut Mathilde Zampieri.

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