La troisième édition de la CPS Challenge a commencé la semaine dernière avec déjà 42 entreprises et plus de 500 rameurs inscrits, soit 84 équipages estimés pour la première régate qui aura lieu en mars. Qu’est-ce qui fait le succès de la CPS Challenge ?
« Je dirais que c’est le va’a. Le va’a est un sport cher : un V6 coûte un million, un V1 coûte 150 000 Fcfp, donc c’est plus facile d’aller jouer au foot que d’aller faire du va’a. Donc en mettant à disposition des entreprises des va’a, je pense ça attire. »
Comment est conçu le programme exactement ?
« On a commencé en 2017 avec un programme de 4 mois. On les a fait ramer sur quatre mois en 2017, six mois en 2018, et 10 mois cette année. On écoute les entreprises, et ils ont demandé à ce que ça dure pendant 10 mois, donc on les suit. »
Et dans ce programme, il y a un aspect de perte de poids ?
« C’est le but. C’est le poids qui donne des points aux entreprises. Pour résumer, il y a un ambassadeur, une femme obligatoire, le patron aussi est invité à prendre place sur la pirogue, et un kilo perdu, c’est égal à 10 points. »
Comment est-ce que vous les suivez exactement ?
« Tous les jours on a une équipe qui dort pratiquement sur le motu de Arue. J’ai des jeunes des quartiers que je suis en train de former et qui seront patentés dans pas longtemps. On les forme en caméra, on les forme en animation. On les forme en apprentissage sur le plan d’eau et on encadre les entreprises à midi et 16 heures du lundi au vendredi pendant 10 mois. »
Et à côté de ces jeunes des quartiers, il y en a d’autres qui sont bénévoles, 70 au total pour chaque régate ?
« Oui, et le but est de les former, de donner goût aussi à la rame, parce qu’on ne rame que dans des clubs. C’est pour un public comme l’élite qu’on voit, Shell, OPT et tout. Et là on a voulu toucher le cœur de la Polynésie en commençant par les entreprises. On a un scoop que j’aimerais révéler ce soir, c’est qu’on va toucher les quartiers. Le 25 mai, on va s’intéresser aux quartiers de Arue. »
Avec un programme spécialement conçu pour les quartiers ?
« Oui, on étudie actuellement avec la commune de Arue où on va commencer, dans quelle zone on va lancer la CPS Challenge version quartier. »
Comment a démarré l’aventure ? Par quel constat ?
« Ça a commencé avec les championnats du monde, où on disait qu’il fallait mettre en place quelque chose pour motiver les entreprises. Ensuite, en se documentant, on s’est rendu compte de tous les chiffres qu’on connaît. On est champion du monde au niveau du surpoids… Donc avec ma femme Ingrid, on s’est dit qu’on allait se lancer dans ce défi et on est là aujourd’hui avec nos propres va’a. »
Et vous avez pu continuer l’aventure grâce à un partenariat avec le Pays. On sait qu’après les championnats du monde ça devait s’arrêter.
« C’est ça. Donc avec les chiffres qu’on a eus, on a beaucoup bossé, on a beaucoup travaillé. On devait fournir des chiffres l’année dernière au mois de novembre : 36 kilos perdus pour les ambassadeurs, une moyenne de 12 kilos perdus sur les 100 ambassadeurs, plus de 550 personnes sur le plan d’eau avec à peine six va’a et des bénévoles. On a eu des chiffres et on a eu l’aide du Pays. »
« Je dirais que c’est le va’a. Le va’a est un sport cher : un V6 coûte un million, un V1 coûte 150 000 Fcfp, donc c’est plus facile d’aller jouer au foot que d’aller faire du va’a. Donc en mettant à disposition des entreprises des va’a, je pense ça attire. »
Comment est conçu le programme exactement ?
« On a commencé en 2017 avec un programme de 4 mois. On les a fait ramer sur quatre mois en 2017, six mois en 2018, et 10 mois cette année. On écoute les entreprises, et ils ont demandé à ce que ça dure pendant 10 mois, donc on les suit. »
Et dans ce programme, il y a un aspect de perte de poids ?
« C’est le but. C’est le poids qui donne des points aux entreprises. Pour résumer, il y a un ambassadeur, une femme obligatoire, le patron aussi est invité à prendre place sur la pirogue, et un kilo perdu, c’est égal à 10 points. »
Comment est-ce que vous les suivez exactement ?
« Tous les jours on a une équipe qui dort pratiquement sur le motu de Arue. J’ai des jeunes des quartiers que je suis en train de former et qui seront patentés dans pas longtemps. On les forme en caméra, on les forme en animation. On les forme en apprentissage sur le plan d’eau et on encadre les entreprises à midi et 16 heures du lundi au vendredi pendant 10 mois. »
Et à côté de ces jeunes des quartiers, il y en a d’autres qui sont bénévoles, 70 au total pour chaque régate ?
« Oui, et le but est de les former, de donner goût aussi à la rame, parce qu’on ne rame que dans des clubs. C’est pour un public comme l’élite qu’on voit, Shell, OPT et tout. Et là on a voulu toucher le cœur de la Polynésie en commençant par les entreprises. On a un scoop que j’aimerais révéler ce soir, c’est qu’on va toucher les quartiers. Le 25 mai, on va s’intéresser aux quartiers de Arue. »
Avec un programme spécialement conçu pour les quartiers ?
« Oui, on étudie actuellement avec la commune de Arue où on va commencer, dans quelle zone on va lancer la CPS Challenge version quartier. »
Comment a démarré l’aventure ? Par quel constat ?
« Ça a commencé avec les championnats du monde, où on disait qu’il fallait mettre en place quelque chose pour motiver les entreprises. Ensuite, en se documentant, on s’est rendu compte de tous les chiffres qu’on connaît. On est champion du monde au niveau du surpoids… Donc avec ma femme Ingrid, on s’est dit qu’on allait se lancer dans ce défi et on est là aujourd’hui avec nos propres va’a. »
Et vous avez pu continuer l’aventure grâce à un partenariat avec le Pays. On sait qu’après les championnats du monde ça devait s’arrêter.
« C’est ça. Donc avec les chiffres qu’on a eus, on a beaucoup bossé, on a beaucoup travaillé. On devait fournir des chiffres l’année dernière au mois de novembre : 36 kilos perdus pour les ambassadeurs, une moyenne de 12 kilos perdus sur les 100 ambassadeurs, plus de 550 personnes sur le plan d’eau avec à peine six va’a et des bénévoles. On a eu des chiffres et on a eu l’aide du Pays. »
Rédaction web avec Sophie Guébel