29 ans après sa création, la course Te Aito a bien évolué. Au niveau de ses participants avant-tout. Les rameurs de la nouvelle génération utilisent de nouvelles méthodes avec des coups de rames plus rapides et plus légers. Ces 5 dernières années, on constate aussi la participation de rameurs étrangers qui viennent de 13 pays différents. Ils sont au nombre de 63 rameurs cette année, une première au Te Aito.
Ils viennent de Nouvelle-Zélande, un pays qui n’est pas à sa première participation. Mais aussi de Nouvelle-Calédonie, du Japon, du Pérou encore du Brésil et de Singapour qui fêtent leurs débuts. « Cette course c’est l’opportunité pour moi d’affronter un millier de rameurs. Faire le Te Aito auprès des meilleurs athlètes du monde, c’est vraiment une bonne expérience pour un rameur », a témoigné un rameur italien.
Sur le pan d’eau, les adversaires extérieurs s’entrainent, l’occasion de se familiariser avec les eaux polynésiennes. Parmi eux, un groupe de Néo zélandais s’est joint à la partie, dont la championne du monde en V6 junior Cody Campbell, l’une des figures de la plus importante délégation étrangère impliquée dans le Te Aito. La Nouvelle Zélande est aujourd’hui le premier pays en nombre de rameurs étrangers. « Je ne souhaite pas suggérer de classements, mais je donnerai le meilleur de moi-même. Mais secrètement j’espère que la mer sera calme ce jour-là. Les Tahitiens sont meilleurs dans le surf. On verra bien le jour de la course », a confié Tupuria King, un aito chez les kiwi.
Pour le comité d’organisation locale, le Te Aito 2016 revêt un caractère exceptionnel. « Pour nous c’est la formidable opportunité de s’associer a cet évenement pour monter les championnats du monde. On veut faire un événement exceptionnel, social, culturel, sportif, donc ça nous permet de faire un test event par rapport à cette manifestation, pour être prêt l’année prochaine et faciliter l’organisation des championnats du monde », a expliqué le président du COL.
Ils viennent de Nouvelle-Zélande, un pays qui n’est pas à sa première participation. Mais aussi de Nouvelle-Calédonie, du Japon, du Pérou encore du Brésil et de Singapour qui fêtent leurs débuts. « Cette course c’est l’opportunité pour moi d’affronter un millier de rameurs. Faire le Te Aito auprès des meilleurs athlètes du monde, c’est vraiment une bonne expérience pour un rameur », a témoigné un rameur italien.
Sur le pan d’eau, les adversaires extérieurs s’entrainent, l’occasion de se familiariser avec les eaux polynésiennes. Parmi eux, un groupe de Néo zélandais s’est joint à la partie, dont la championne du monde en V6 junior Cody Campbell, l’une des figures de la plus importante délégation étrangère impliquée dans le Te Aito. La Nouvelle Zélande est aujourd’hui le premier pays en nombre de rameurs étrangers. « Je ne souhaite pas suggérer de classements, mais je donnerai le meilleur de moi-même. Mais secrètement j’espère que la mer sera calme ce jour-là. Les Tahitiens sont meilleurs dans le surf. On verra bien le jour de la course », a confié Tupuria King, un aito chez les kiwi.
Pour le comité d’organisation locale, le Te Aito 2016 revêt un caractère exceptionnel. « Pour nous c’est la formidable opportunité de s’associer a cet évenement pour monter les championnats du monde. On veut faire un événement exceptionnel, social, culturel, sportif, donc ça nous permet de faire un test event par rapport à cette manifestation, pour être prêt l’année prochaine et faciliter l’organisation des championnats du monde », a expliqué le président du COL.
La course de samedi est à suivre en direct télé et web sur Tahiti Nui Télévision
Rédaction Web avec Brandy Tevero