17ème au TE AITO 2015 et 11ème cette année, Tupuria King s’impose comme un adversaire redoutable dans cette compétition. Il pourrait bien être « le » rebondissement de cette édition 2016 du SUPER AITO. « Je me sens prêt à l’approche du SUPER AITO. Finir 11ème au TE AITO, soit à une place du TOP 10 des meilleurs dans la discipline, me réconforte. »
Le kiwi a le mérite de s’être entrainé dans des conditions plus rudes que les polynésiens. « Malgré les températures rudes de l’hiver en Nouvelle Zélande, j’ai maintenu mes entraînements.J’ai hâte d’y être! » Assure t’il.
Pour Tupuria King, moins bons surfeur que rameur, le changement de parcours est une aubaine, plus qu’une difficulté. « J’ai été déstabilisé en apprenant la modification du parcours. Mais je comprends que ce sera un bon test en vue des prochains championnats du monde. Le nombre de tours est impressionnant, mais c’est ça aussi le SUPER AITO. Cela me convient qu’il y ait plus de plat que de surf. »
Le rameur kiwi redoute les grands champions polynésiens de la discipline, mais il veut croire en ses chances. « Je sais qu’il faudra que je sois efficace quelle que soient les conditions, si je veux pouvoir tirer mon épingle du jeu. C’est sûr qu’il y a certains rameurs que je redoute plus que d’autres, mais même les meilleurs ont leur mauvais jour. Plutôt que de me focaliser sur mes adversaires, je préfère rester concentrer sur ma course. Je donnerai le meilleur de moi-même. J’aimerais souhaiter « fa’a itoito » à tous les compétiteurs. »
Le kiwi a le mérite de s’être entrainé dans des conditions plus rudes que les polynésiens. « Malgré les températures rudes de l’hiver en Nouvelle Zélande, j’ai maintenu mes entraînements.J’ai hâte d’y être! » Assure t’il.
Pour Tupuria King, moins bons surfeur que rameur, le changement de parcours est une aubaine, plus qu’une difficulté. « J’ai été déstabilisé en apprenant la modification du parcours. Mais je comprends que ce sera un bon test en vue des prochains championnats du monde. Le nombre de tours est impressionnant, mais c’est ça aussi le SUPER AITO. Cela me convient qu’il y ait plus de plat que de surf. »
Le rameur kiwi redoute les grands champions polynésiens de la discipline, mais il veut croire en ses chances. « Je sais qu’il faudra que je sois efficace quelle que soient les conditions, si je veux pouvoir tirer mon épingle du jeu. C’est sûr qu’il y a certains rameurs que je redoute plus que d’autres, mais même les meilleurs ont leur mauvais jour. Plutôt que de me focaliser sur mes adversaires, je préfère rester concentrer sur ma course. Je donnerai le meilleur de moi-même. J’aimerais souhaiter « fa’a itoito » à tous les compétiteurs. »