Sur terre, pahu, toere et danses tahitiennes… Les journalistes, le contre-amiral Denis Bertrand et de nombreux représentants des autorités, mais aussi une centaine de curieux sont venus à la rencontre du navigateur français.
« Je vais prendre un bon repas, profiter de découvrir l’île et puis on a un bateau à réparer quand même (rires) C’est une course qui est très dure et sans tous ces gens (qui nous soutiennent, NDLR), on y arriverait pas. Ça donne envie d’y retourner même si c’est dur », a déclaré Paul Meilhat à son arrivée à Papeete.
Troisième de la compétition, Paul Meilhat a dû abandonner avec regret la course en solitaire et se diriger vers la Polynésie française pour réparer son navire. Mais il est très heureux d’être à Tahiti. « Ça fait 8 jours, j’ai eu le temps de digérer quand même. C’est un sport mais on vit quand même des aventures incroyables. le fait d’avoir sauvé mon bateau et de m’être sauvé aussi moi… J’étais quand même très loin de toutes les côtes avec un gros problème. C’est une vraie satisfaction d’arriver ici. En plus j’arrive dans un endroit incroyable. C’est un peu comme dans un rêve. Je ne peux pas ne pas être content d’arriver ici. »
Rédaction web (Interview : Manava Tepa / Laure Philiber)