« C’est de l’asphalte, mais on roule dans les sous-bois, dans les montagnes… il y a des descentes. Mais bon, quand il y a plus de 150 voitures qui passent, les routes sont détériorées parce qu’on va dans les cordes, et cela veut dire qu’on ramène des graviers sur la route, de la boue… donc les routes sont piégeuses, et le premier passage n’est pas le même que le deuxième. Souvent, il y a des grosses sorties » nous explique le pilote de rallye.
« C’est très important d’avoir un bon copilote, surtout de bien s’entendre. J’ai la chance depuis trois ans de rouler avec Aurélien Beaudouin. Il y a une bonne alchimie qui se passe entre nous » précise José. « Les reconnaissances sont très importantes. C’est beaucoup plus stressant que la course, pour moi. Parce qu’il faut donner la bonne note au bon moment. Il ne faut pas se tromper. Parce que si on se trompe, quand on est à 180km/h, cela ne pardonne pas » poursuit-il.
Le passionné regrette cependant de ne pas pouvoir s’épanouir à Tahiti. Il a donc décidé de mettre sa Peugot 206 aux couleurs du fenua avec des tatouages, avec laquelle il concourt en métropole : « je suis très fier de monter dans cette voiture ».
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