Escrime : la vice-championne olympique Astrid Guyart à Tahiti

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Le ministre de la Culture et de l’environnement, en charge de la jeunesse, des sports et de l’artisanat Heremoana Maamaatuaiahutapu, a reçu vendredi matin, la vice-championne olympique d’escrime au fleuret à Tokyo, secrétaire générale adjointe du comité national olympique et sportif français (CNOSF), co-présidente de la commission des athlètes et co-présidente de l’agence française de lutte contre le dopage (AFLD), Astrid Guyart. Elle était accompagnée de l’ancienne directrice des relations institutionnelles du CNOSF, Julie Lavet.

Publié le 20/08/2021 à 14:47 - Mise à jour le 20/08/2021 à 14:47

Le ministre de la Culture et de l’environnement, en charge de la jeunesse, des sports et de l’artisanat Heremoana Maamaatuaiahutapu, a reçu vendredi matin, la vice-championne olympique d’escrime au fleuret à Tokyo, secrétaire générale adjointe du comité national olympique et sportif français (CNOSF), co-présidente de la commission des athlètes et co-présidente de l’agence française de lutte contre le dopage (AFLD), Astrid Guyart. Elle était accompagnée de l’ancienne directrice des relations institutionnelles du CNOSF, Julie Lavet.

La rencontre a débuté par une présentation du sport polynésien et des différents projets en cours menés par le Pays. Plusieurs sujets ont été abordés dont l’accueil des épreuves olympiques de surf à Teahupo’o en 2024, la candidature de la Polynésie française à l’accueil et l’organisation des Jeux du Pacifique en 2027.

Il a également été question de l’ambition partagée avec l’État de saisir l’opportunité de l’olympiade 2024 pour renforcer le partenariat sports entre le national et le Pays. D’autant que les relations entre les mouvements sportifs français et polynésiens tendent à se consolider davantage.

Une nouvelle convention

Par la suite, les échanges ont porté sur le renouvellement du partenariat entre l’AFLD et la Polynésie française, dans la continuité d’une 1ère convention conclue en 2012. Cette nouvelle convention intégrera le principe d’un soutien technique sur le plan réglementaire ainsi que la mise en place d’une formation d’un personnel de santé du Pays aux fonctions de coordonnateur de la lutte antidopage. Ainsi, grâce à ce partenariat, la Polynésie française se dotera d’une nouvelle réglementation conforme au code mondial antidopage et d’un référent formateur local permettant d’assurer une continuité de formation des agents de contrôle.

Les participants à cette rencontre se sont accordés sur la nécessité d’unir toutes les composantes de la République autour d’un projet sociétal comme les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 et de fédérer davantage les mouvements sportifs national et polynésien dans le respect des spécificités de chacun.

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