« C’est une discipline qui est très grisante, il y a de la vitesse, il y a du challenge… C’est une course, donc évidemment, tout le monde se prend au jeu. Mon but, c’est de faire les choses dans la sécurité. C’est-à-dire que l’on se fasse plaisir et que les chevaux ne se fassent pas mal » explique Gilles Valdenaire, secrétaire général de l’Association Hippique et d’Encouragement à l’Élevage de Polynésie française.
« On renoue un peu avec le passé de l’association où avant il y avait de nombreuses courses, avec plus de 10 chevaux au départ. (…) Actuellement, on arrive à mettre 5-6 galopeurs en course. Notre challenge cette année, c’est d’arriver à avoir au moins 9 partants dans une course de galop » déclare Remy Guilbert, moniteur d’équitation et ancien cavalier professionnel.
Tous les cavaliers qui le souhaitent peuvent se former en contactant l’association. Les courses, elles reprendront, au mois de mai.