Le débat est relancé suite à la publication dans un magazine scientifique d’une nouvelle étude, menée entre 2004 et 2006 par des médecins français. Les risques de développer une tumeur cérébrale seraient accrus pour les gros utilisateurs. Danger réel ou supposé, il existe des astuces simples pour ne pas angoisser à chaque utilisation de votre portable ou smartphone.
Le choix du téléphone tout d’abord. Les constructeurs ont obligation en Europe de préciser sur l’emballage des appareils, le DAS, le débit d’absorption spécifique. Il doit toujours être inférieur à 2 Watts/Kilo. Et plus ce débit est faible, mieux c’est. Il est aussi conseillé d’utiliser un kit oreillette pendant les appels. Cela permet tout simplement de limiter le contact direct du téléphone avec votre tête et donc de limiter l’exposition aux ondes. Le kit filaire permet de diviser par 10 l’exposition, par 100 avec une oreillette bluetooth.
En 2011, l’Organisation mondiale de la santé qualifiait déjà le mobile de « potentiellement cancérogène. Les résultats d’une étude française menée entre 2004 et 2006 affirment que les personnes utilisant leur téléphone mobile plus de 15 heures par mois ont un risque accru de développer certaines tumeurs du cerveau. Mais faute de preuves irréfutables, rares sont ceux qui changent leurs habitudes.
Regardez ce reportage TNTV sur l’usage du téléphone à Tahiti.
Le choix du téléphone tout d’abord. Les constructeurs ont obligation en Europe de préciser sur l’emballage des appareils, le DAS, le débit d’absorption spécifique. Il doit toujours être inférieur à 2 Watts/Kilo. Et plus ce débit est faible, mieux c’est. Il est aussi conseillé d’utiliser un kit oreillette pendant les appels. Cela permet tout simplement de limiter le contact direct du téléphone avec votre tête et donc de limiter l’exposition aux ondes. Le kit filaire permet de diviser par 10 l’exposition, par 100 avec une oreillette bluetooth.
En 2011, l’Organisation mondiale de la santé qualifiait déjà le mobile de « potentiellement cancérogène. Les résultats d’une étude française menée entre 2004 et 2006 affirment que les personnes utilisant leur téléphone mobile plus de 15 heures par mois ont un risque accru de développer certaines tumeurs du cerveau. Mais faute de preuves irréfutables, rares sont ceux qui changent leurs habitudes.
Regardez ce reportage TNTV sur l’usage du téléphone à Tahiti.