« Nous sommes là en train de danser, de mettre en valeur notre culture. On sort, on a toutes nos voitures cassées !, s’emporte Marguerite Lai. C’était trop, donc j’ai porté plainte et il y aura une suite », assure-t-elle.
La chef de troupe de O Tahiti E est en colère. Depuis trois mois que ses éléments répètent dans la salle omnisports de la DGEE, chaque soir une voiture est victime d’acte de vandalisme. La veille, c’était le vol de trop. Une plainte a été déposée à la DSP, un gardien a été recruté pour surveiller les véhicules des danseurs et musiciens. Tous les membres de la troupe ont été avertis des consignes pour éviter de se faire voler.
« Je préviens les éléments de ne pas laisser des choses de valeur dans leurs voitures, mais on a quand même eu sept voitures de cassées, confie Marguerite. Ce sont des jeunes qui entrent là à bicyclette, cassent les voitures, puis s’engouffrent dans le quartier Teauna juste au-dessus. »
Marguerite Laï a fait irruption dans une réunion publique organisée au quartier Teauna pour faire part de son mécontentement. Les personnes présentes ont déploré la situation mais elles ne pouvaient rien faire pour la chef de troupe.
La chef de troupe de O Tahiti E est en colère. Depuis trois mois que ses éléments répètent dans la salle omnisports de la DGEE, chaque soir une voiture est victime d’acte de vandalisme. La veille, c’était le vol de trop. Une plainte a été déposée à la DSP, un gardien a été recruté pour surveiller les véhicules des danseurs et musiciens. Tous les membres de la troupe ont été avertis des consignes pour éviter de se faire voler.
« Je préviens les éléments de ne pas laisser des choses de valeur dans leurs voitures, mais on a quand même eu sept voitures de cassées, confie Marguerite. Ce sont des jeunes qui entrent là à bicyclette, cassent les voitures, puis s’engouffrent dans le quartier Teauna juste au-dessus. »
Marguerite Laï a fait irruption dans une réunion publique organisée au quartier Teauna pour faire part de son mécontentement. Les personnes présentes ont déploré la situation mais elles ne pouvaient rien faire pour la chef de troupe.
Elle est donc retournée auprès des danseurs pour veiller à ce que ses dernières consignes soient bien respectées : « Attention à vos sacs là-bas derrière !, s’époumone-t-elle. Tous ceux qui ont mis leurs sacs là-bas derrière, je ne veux plus vous entendre pleurer ! »
Rédaction web avec Sam Teinaore