Elle se confie : « Si je n’avais pas été Miss, je me serais battue contre ce problème de société en étant professeur. Là, je veux me servir de mon statut pour faire avancer les choses. »
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La belle reçoit régulièrement des courriers de fans alarmants. « Maintenant, les jeunes sont persécutables 24 heures sur 24 à cause des réseaux sociaux. Ils n’ont plus de répit. Je viens encore de recevoir une lettre d’une fan en surpoids, qui me demandait si elle pouvait se présenter à l’élection de Miss France avec des marques de scarifications… Cela m’a énormément troublée. En arriver à ce stade, c’est très grave. »
Vaimalama a mené son propre combat « sans faire de bêtise », mais les 3 années durant lesquelles elle a subi des moqueries l’ont marquée. Elle lance un appel à la jeunesse : « En parler aux autres pour s’en sortir, c’est la clé. Et c’est mon message aujourd’hui : il faut que les gamins se déchargent en expliquant leur situation à un enseignant, un psy, une infirmière… »