Pour l’instant, je n’ai pas réussi à me poser mais je suis heureuse d’être ici et d’avoir été élue.
Comment vous êtes-vous senti sur scène vendredi soir ?
Emue. Je ne trouverai pas d’autres mots pour pouvoir décrire ce que j’ai ressenti, beaucoup d’émotions, et un très bon moment passé avec toutes les candidates.
Le thème : c’était le mana. On vous a beaucoup vu sur scène, la répétition a été intense…
Absolument. Des répétitions régulièrement à raison de deux heures par jour parfois. Mais heureusement, une équipe au top pour pouvoir nous guider et nous aider à acquérir une bonne démarche, une bonne attitude, à être toujours souriante…
Qu’est-ce que vous avez ressenti à l’annonce de votre nom ?
Aujourd’hui encore, je ne trouve toujours pas les mots pour décrire comment c’était. C’était très intense. Avec Emehe, on était émue d’être arrivée aussi loin.
Vous êtes d’origine wallisienne. Quel lien vous avez avec Wallis aujourd’hui ?
Je suis d’origine polynésienne. Je souhaite pouvoir visiter Wallis prochainement.
Comment appréhendez-vous la prochaine étape : l’élection de Miss France ?
Pour l’instant, j’ai encore du mal comment va s’organiser la suite des événements. Mais beaucoup de sport et une alimentation adaptée pour pouvoir avoir des résultats optimaux.
Comment comptez-vous aborder cette nouvelle aventure ?
Je compte donner tout ce que j’ai pour pouvoir réussir.
Est-ce que première dauphine, cela vous irait ?
Non ! Je veux gagner !
En tant que Miss Tahiti, comment comptez-vous vous impliquer ?
Je crois que le statut de Miss Tahiti est très reconnu au niveau social. Je souhaiterais pouvoir utiliser la notoriété qui va avec pour encourager des causes qui me tiennent à cœur comme l’éducation : l’enseignement de valeurs telles que le respect et la confiance en soi. C’est très important pour le développement d’une personne pour qu’il puisse trouver leur place et aider au développement d’un pays.