Un courrier qui a mis le feu aux poudres. Un producteur lance avec colère :
« Nous protestons contre cette décision parce que ces bois sont traités chimiquement.[…] Ce serait la fin du pandanus et de nos familles. »
Le tāvana affirme qu’il n’a pas eu le choix. Pour lui, cette décision ne met pas en péril l’activité de production du pandanus sur l’île.
Le reportage