Les pêcheurs de Punaauia veulent règlementer une nouvelle zone de pêche lagonaire. Il s’agit de l’aire marine entre la pointe des pêcheurs et l’hôtel Méridien. Une zone importante qui constituerait une véritable nurserie pour les alevins et les bénitiers. La proposition fait l’unanimité auprès des pêcheurs lagonaires de Punaauia réunis à la mairie jeudi 17 juillet. Dans quelques jours, l’activité sera règlementée dans cette zone.
De la pointe des Pêcheurs à l’hôtel Méridien, jusqu’à 100 mètres derrière la barrière récifale, cette aire marine est une extension de la zone appelée Nuuroa, où la pêche est déjà règlementée. Selon le biologiste marin Christian Monier, c’est le seul moyen de régénérer la ressource marine.
Dès que la règlementation sera applicable, tout type de pêche sera interdit dans cette zone sauf la pêche au fusil harpon de jour, la pêche au filet ature, la pêche à la ligne, et à l’épuisette pour inaa.
Toujours selon la direction des ressources marines, les effets de ce système ne seront perceptibles qu’au bout de 3 à 5 années sans pêche, si la règlementation est respectée. Pour la municipalité, le système ne pourra être efficace sans une responsabilisation des pêcheurs eux-mêmes, plus d’une centaine de famille aujourd’hui.
Un reportage TNTV.
De la pointe des Pêcheurs à l’hôtel Méridien, jusqu’à 100 mètres derrière la barrière récifale, cette aire marine est une extension de la zone appelée Nuuroa, où la pêche est déjà règlementée. Selon le biologiste marin Christian Monier, c’est le seul moyen de régénérer la ressource marine.
Dès que la règlementation sera applicable, tout type de pêche sera interdit dans cette zone sauf la pêche au fusil harpon de jour, la pêche au filet ature, la pêche à la ligne, et à l’épuisette pour inaa.
Toujours selon la direction des ressources marines, les effets de ce système ne seront perceptibles qu’au bout de 3 à 5 années sans pêche, si la règlementation est respectée. Pour la municipalité, le système ne pourra être efficace sans une responsabilisation des pêcheurs eux-mêmes, plus d’une centaine de famille aujourd’hui.
Un reportage TNTV.