Vaimalama : « je n’ai pas terminé d’être la femme que je veux être »

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Publié le 23/06/2019 à 13:18 - Mise à jour le 07/02/2020 à 10:30

Clap, « une histoire, un message, met en avant des personnes aux « parcours hors du commun qui transmettent un message à travers leur vécu. »

Une nouvelle interview inspirante de Vaimalama, dans laquelle elle donne ses conseils pour être « au top ». Publiée le 21 juin sur Facebook, elle a déjà été partagée près de 500 fois. 

La Miss conseille tout d’abord de « prendre le temps » : « On a tendance à trop se projeter, à penser au futur, à regretter, à penser au passé et pas assez à profiter du moment, de l’instant, toujours dans le rush, toujours dans le speed. Moi je prends mon temps et puis je marche cool. Avec mes baskets ou avec mes talons, je suis très lente. J’apprécie la vie et le rythme qui s’écoule. »
 

Vaimalama vous encourage à « profiter de tout parce que chaque jour qui passe, c’est un jour en moins à vivre et un jour en plus vers la mort. Valorisez la vie telle qu’elle est parce que, c’est parce qu’elle a une fin, une date limite, qu’elle est si belle. »

Et quand rien ne va ? « Quand ça ne va pas, eh bien ça ne va pas. On se met en pyjama et puis on s’emballe sous sa couette et puis on pleure un bon coup. Et une fois qu’on a bien pleuré, on se relève et on avance. On attaque la vie. Et puis aujourd’hui j’ai 24 ans, et puis demain ben j’aurai sûrement 50 ans. C’est l’idée je veux dire. Profitons, prenons le temps d’apprécier les choses, toujours de manière positive. » 

Être positif, pas toujours simple. Mais la Miss a ses astuces : « On évite de dire qu’on a des défauts, on dit qu’on a des axes d’amélioration. Par exemple, moi, je ne dis pas que je suis têtue. Parce que je ne suis pas têtue. Je suis déterminée. »

Dernier conseil : cessez d’attendre le bon moment…  « Il n’y a pas de bon moment pour faire quelque chose. Il y a un instant, et je vous invite à le saisir tel qu’il est et de faire de cet instant le bon moment. »

« Je suis fière de la femme que je suis devenue, mais je n’ai pas terminé d’être la femme que je veux être », conclut Vaimalama.  

Rédaction web 

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