La réinsertion sociale des personnes sortant de prison, au travers de modalités de remise en liberté appropriées, est un enjeu important pour lutter contre la récidive.
À l’initiative du ministère de la Famille et des Solidarités, les représentants de l’État et les acteurs des services pénitentiaires, le tavana de Taiarapu Ouest, les membres de l’association Fatu Fenua, le directeur de la Fondation Agir contre l’exclusion (FACE), les services du Pays et la députée Nicole Sanquer ont été réunis afin d’envisager la concrétisation du projet agricole Ma’a Hotu avec l’association Tamari’i Nuutania, créée en 2009, et dont l’objet social porte sur la réinsertion des anciens détenus par la formation agricole.
Dans ce cadre, le ministère de la Famille a notamment pour rôle de rassembler et de fédérer tous les acteurs afin que ce projet sans précédent en Polynésie française puisse aboutir. Le projet prévoit que, dans un premier temps, quelques détenus sélectionnés par le service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) puissent bénéficier de ce programme.
Celui-ci se déroulera sur le plateau de Vairao, sur la Presqu’île de Tahiti, où seront cultivées deux variétés de papaye et une variété d’ananas. L’intervention d’un formateur agricole, diplômé du centre agricole de Opunohu est prévue. Il aura la charge de proposer un programme de formation théorique et pratique. La commercialisation des productions agricoles devrait permettre à l’association de générer des revenus dès la deuxième année.
À l’initiative du ministère de la Famille et des Solidarités, les représentants de l’État et les acteurs des services pénitentiaires, le tavana de Taiarapu Ouest, les membres de l’association Fatu Fenua, le directeur de la Fondation Agir contre l’exclusion (FACE), les services du Pays et la députée Nicole Sanquer ont été réunis afin d’envisager la concrétisation du projet agricole Ma’a Hotu avec l’association Tamari’i Nuutania, créée en 2009, et dont l’objet social porte sur la réinsertion des anciens détenus par la formation agricole.
Dans ce cadre, le ministère de la Famille a notamment pour rôle de rassembler et de fédérer tous les acteurs afin que ce projet sans précédent en Polynésie française puisse aboutir. Le projet prévoit que, dans un premier temps, quelques détenus sélectionnés par le service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) puissent bénéficier de ce programme.
Celui-ci se déroulera sur le plateau de Vairao, sur la Presqu’île de Tahiti, où seront cultivées deux variétés de papaye et une variété d’ananas. L’intervention d’un formateur agricole, diplômé du centre agricole de Opunohu est prévue. Il aura la charge de proposer un programme de formation théorique et pratique. La commercialisation des productions agricoles devrait permettre à l’association de générer des revenus dès la deuxième année.
D’après un communiqué
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