La Polynésie française a relancé depuis quelques années le secteur de l’aquaculture dans un objectif de développement durable et intégré au contexte polynésien. La Polynésie française a soutenu le projet Redame (étude de la REssource en éponge DActylospongia MEtachromia pour une production durable) soumis puis validé par le Contrat de projets État-Pays. Ce projet s’inscrit dans la perspective de développement d’une économie bleue en Polynésie française et dans les thématiques du Schéma Directeur de la Recherche et de l’Innovation.
Ce projet Redame est issu de travaux de recherche initiés en 2011 lesquels ont montré que l’éponge Dactylospongia metachromia, particulièrement abondante aux Tuamotu, constitue une source de deux molécules, l’ilimaquinone et son épimère, produits naturellement en quantité notable. Ces molécules ont fait l’objet de travaux chimiques de production par hémi synthèse de différents produits qui ont été testés. L’un d’entre eux a ainsi démontré une activité remarquable sur la production d’insuline.
Aussi, afin d’envisager un développement de ce produit dans le traitement du diabète de type 2, les études de la ressource naturelle et de sa production durable sont nécessaires et envisagées dans le projet Redame. Celui-ci est financé sur trois ans à hauteur de 81 999 523 Fcfp, dont 30 000 000 Fcfp par le Contrat de projets État-Pays, 41 999 523 Fcfp par l’UPF et l’IRD, et 10 000 000 Fcfp par la DRMM (Direction des ressources marines et minières).
Ce projet Redame est issu de travaux de recherche initiés en 2011 lesquels ont montré que l’éponge Dactylospongia metachromia, particulièrement abondante aux Tuamotu, constitue une source de deux molécules, l’ilimaquinone et son épimère, produits naturellement en quantité notable. Ces molécules ont fait l’objet de travaux chimiques de production par hémi synthèse de différents produits qui ont été testés. L’un d’entre eux a ainsi démontré une activité remarquable sur la production d’insuline.
Aussi, afin d’envisager un développement de ce produit dans le traitement du diabète de type 2, les études de la ressource naturelle et de sa production durable sont nécessaires et envisagées dans le projet Redame. Celui-ci est financé sur trois ans à hauteur de 81 999 523 Fcfp, dont 30 000 000 Fcfp par le Contrat de projets État-Pays, 41 999 523 Fcfp par l’UPF et l’IRD, et 10 000 000 Fcfp par la DRMM (Direction des ressources marines et minières).
D’après un communiqué
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