Une centaine de participants au concours, la gendarmerie veut recruter plus

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Publié le 19/09/2016 à 16:00 - Mise à jour le 19/09/2016 à 16:00

Ce mardi, 240 candidats devaient passer les épreuves écrites d’admissibilité au concours de sous-officier de la gendarmerie. 222 candidats en externe et 20 en interne. Seulement 45% d’entre eux se sont finalement présentés au complexe sportif de l’AS dragon à 11 heures. 

Les  candidats qui réussiront les épreuves écrites devront encore franchir l’entretien avec un psychologue, avec un jury, et une épreuve physique.
Ils partiront ensuite en métropole pour une formation de 8 mois en école et 4 mois en unité. Une fois tout ce parcours achevé, ils ne seront pas forcément affectés en Polynésie. 

La gendarmerie française va recruter 2 300 personnels de plus cette année, a annoncé le général de corps d’armée Richard Lizurey, le numéro un de la gendarmerie nationale, dans un entretien au Parisien, mercredi. « Nous allons aussi livrer cette année 3. 000 véhicules à nos unités. Les armes, les gilets pare-balles sont en cours de dotation », a-t-il précisé.
 
Le nouveau numéro un de la gendarmerie nationale qui a pris ses fonctions début septembre à la tête des 125 000 gendarmes et réservistes : « compte aussi sur les réservistes de la gendarmerie. » Il a indiqué que la gendarmerie « comptera 40 000 réservistes d’ici à la fin 2018 avec 4 000 d’entre eux présents chaque jour à nos côtés. Cela bénéficiera à la protection des biens et des personnes ». Tous les jours, « il y 3 000 réservistes sur le terrain. Nous sommes montés jusqu’à 4 000 au mois d’août ». 

Une baisse des renforts en gendarmes mobiles est attendue au fenua. Elle pourrait être compensée par les réservistes selon le colonel Caudrelier commandant de la gendarmerie en Polynésie française.
 

Rédaction web avec AFP

 

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