Ce dispositif permet théoriquement aux plus pauvres de bénéficier de soins gratuits, la Caisse de prévoyance sociale (CPS) prenant en charge l’intégralité des frais.
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Ces 2 milliards Fcfp sont grandement appréciés par les professionnels de santé travaillant à domicile, infirmiers libéraux ou encore sages-femmes. En effet, la majorité de leurs clients sont affiliés à ce régime spécial et sont donc dépendant du financement de la CPS pour se soigner.
Cette allonge reste insuffisante pour équilibrer le régime de solidarité, mais il ne s’agit que de la première pierre d’une réforme de fond que réclame les représentants. Un projet de loi allant dans ce sens sera étudié dans deux semaines à l’Assemblée de la Polynésie française. Il s’attaque aux fraudeurs.