Si cette dépression ne se transformera pas en cyclone selon les prévisionnistes, il faut tout de même rester prudent pour le reste de la saison : « C’est année, on a tout ce qu’il faut au niveau des températures de la mer, on a environ 2 degrés d’anomalie supplémentaire. On a tous les éléments météorologiques qui sont en place. C’est pour ça qu’on surveille particulièrement, même si c’est petit, parce que le risque explosif existe », souligne Bertrand Grassi.
L’évolution de la situation est suivie en permanence par Météo-France et un nouveau point sera fait au plus tard ce mardi en fin de matinée.
Bertrand Grassi, chef du service de prévision chez Météo France Polynésie.