Institutions, services administratifs et entreprises sont réunis en un seul lieu pour les accompagner dans la réalisation de leur projet de vie. L’agence assure la prise en charge d’un tiers du loyer mensuel des foyers modestes connues des services sociaux. S’enclenche alors un processus de deux ans pour permettre aux bénéficiaires de s’installer durablement dans un logement et en assumer les charges.
Mais depuis sa création en 2008, l’AISPF croule sous les demandes. Le Pays qui lui alloue une subvention a doublé sa participation passant de 150 millions en 2016 à 300 millions de francs cette année.
La présidente de l’AISPF Antonina Bambridge nous dresse un état des lieux. « Nous accueillons beaucoup plus de familles, en 2009 nous avons commencé avec une trentaine de familles, et désormais nous en sommes à 170 et certainement 200 d’ici la fin de l’année. »
Pour la présidente, « Il y a eu une prise de conscience que donner un logement, ce n’était pas suffisant. Il fallait un projet de vie. Si les familles n’ont pas les moyens d’assumer les besoins du ménage et de payer leurs charges, et bien elles sont toujours dans la même situation. »
D’où le thème du Forum, « Un projet, un logement et une famille ». Si 200 familles seront prises en charge d’ici la fin de l’année, combien restent en attente. « Dans les fichiers de l’OPH, il y a 3 000 demandes qui ne sont pas pourvues. Pour l’ AISPF, même si nous sommes là pour répondre au besoin de logement d’urgence, il y a des conditions de revenus, car il faut que les bénéficiaires du dispositif puissent s’acquitter d’un tiers du loyer, il faut qu’elles aient un projet de vie pour qu’au bout de deux ans, elles puissent se prendre en charge complètement ».
A charge aux familles, d’améliorer leur revenu, et de prendre en charge un budget. « Il y a une prise de conscience de plus en plus grande de la part des familles à ce qu’elles doivent se prendre en charge. Elles en ont conscience », assure Antonina Bambridge.
Mais depuis sa création en 2008, l’AISPF croule sous les demandes. Le Pays qui lui alloue une subvention a doublé sa participation passant de 150 millions en 2016 à 300 millions de francs cette année.
La présidente de l’AISPF Antonina Bambridge nous dresse un état des lieux. « Nous accueillons beaucoup plus de familles, en 2009 nous avons commencé avec une trentaine de familles, et désormais nous en sommes à 170 et certainement 200 d’ici la fin de l’année. »
Pour la présidente, « Il y a eu une prise de conscience que donner un logement, ce n’était pas suffisant. Il fallait un projet de vie. Si les familles n’ont pas les moyens d’assumer les besoins du ménage et de payer leurs charges, et bien elles sont toujours dans la même situation. »
D’où le thème du Forum, « Un projet, un logement et une famille ». Si 200 familles seront prises en charge d’ici la fin de l’année, combien restent en attente. « Dans les fichiers de l’OPH, il y a 3 000 demandes qui ne sont pas pourvues. Pour l’ AISPF, même si nous sommes là pour répondre au besoin de logement d’urgence, il y a des conditions de revenus, car il faut que les bénéficiaires du dispositif puissent s’acquitter d’un tiers du loyer, il faut qu’elles aient un projet de vie pour qu’au bout de deux ans, elles puissent se prendre en charge complètement ».
A charge aux familles, d’améliorer leur revenu, et de prendre en charge un budget. « Il y a une prise de conscience de plus en plus grande de la part des familles à ce qu’elles doivent se prendre en charge. Elles en ont conscience », assure Antonina Bambridge.
Rédaction web avec Esther Parau-Cordette et Mata Ihorai