Trois personnes décédées, une trentaine de blessés… et un bilan qui s’alourdit au fil de la journée. La priorité est d’informer les médias qui relayeront l’information à la population.
Dès l’apparition du phénomène météorologique, la cellule de crise a été enclenchée. En 3 jours il s’est transformé en un cyclone tropical meurtrier. Tous les moyens ont été déployés pour protéger les populations. Mais c’est parfois de la population que le danger peut venir… « Dans les situations réelles, on s’aperçoit que la population a tendance à vouloir se protéger, explique Cédric Bouet, directeur de cabinet du haut-commissaire. Mais tout le monde voulant se protéger en même temps, ça peut créer des phénomènes de panique et des mouvements de population tout à fait désordonnés. C’est ce que nous devons éviter dans un événement de type cyclonique puisqu’il va falloir que tout le monde au contraire se mette à l’abri et que tout le monde se soit organisé bien avant l’arrivée du cyclone. »
Chaque année ce type d’exercice permet d’améliorer les procédures. Les communes effectuent le même type de préparation. Les documents spécifiques à chaque type de danger sont disponibles sur le site du haut-commissariat.
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