Le ministre du Développement des activités du secteur primaire, Frédéric Riveta, accompagné du ministre de l’Environnement, Heremoana Maamaatuaiahutapu, a présidé, jeudi après-midi, dans la salle du gouvernement, la première réunion du Comité d’Orientation et d’Evaluation de la Politique Agricole (COEPA), à Papeete. Il s’agit d’un organisme consultatif ayant pour but d’examiner la politique agricole réactualisée et le plan de campagne pour la filière vanille pour les années 2015 à 2020.
Ce comité est composé de représentants des pouvoirs publics et de représentants de la profession agricole, parmi lesquels il est à noter la présence d’un représentant des étudiants ou anciens étudiants de l’établissement public d’enseignement et de formation professionnelle agricoles, suivant ou ayant suivi, une formation pour l’obtention d’un diplôme équivalent à Bac + 2 et plus. Il doit permettre au gouvernement de recueillir l’adhésion des professionnels sur les projections futures qu’il entend faire et sans l’engagement desquels l’avenir de la politique agricole serait largement compromis.
La politique publique répond à une double exigence : inscrire l’action publique en faveur du secteur agricole dans la durée et construire la légitimité des soutiens publics au monde rural dans le cadre contractuel entre les agriculteurs et la société polynésienne et ses représentants. Au-delà, elle garantit une meilleure visibilité sur l’action des pouvoirs publics et permet de contrôler leurs actions.
Ce sont pour ces raisons que la politique agricole pour la Polynésie française avait été arrêtée, pour la première fois, par l’actuel ministre en charge de l’agriculture, Frédéric Riveta, pour les années 2011 à 2020. Les quatre axes prioritaires étaient : tendre vers la souveraineté de la Polynésie française dans le domaine agricole, répondre aux attentes des citoyens et des consommateurs, valoriser tous les territoires ruraux et moderniser l’environnement institutionnel de l’agriculture. Par ailleurs, la politique agricole sur cette période contenait les plans de campagne établis filière par filière (maraichère, fruitière, vanille, cocotier, avicole, apicole…).
Toutefois, les différents changements ministériels au cours des dernières années n’ont pas permis l’application de ce programme. C’est pourquoi, le ministère en charge de l’agriculture et le service du développement rural ont travaillé à la réactualisation des objectifs et des moyens à mettre en œuvre pour une réalisation sur les années 2015 à 2020.
Parallèlement à la définition de cette politique publique, le COEPA a été créé afin d’assister le ministère, à titre consultatif, tant dans l’élaboration de cette politique que dans sa mise en œuvre ou dans son évaluation. Organe de conseil, d’évaluation et de prospection, le COEPA peut également être amené à rendre des recommandations ou des avis dans tous les domaines de l’agriculture.
Ce comité est composé de représentants des pouvoirs publics et de représentants de la profession agricole, parmi lesquels il est à noter la présence d’un représentant des étudiants ou anciens étudiants de l’établissement public d’enseignement et de formation professionnelle agricoles, suivant ou ayant suivi, une formation pour l’obtention d’un diplôme équivalent à Bac + 2 et plus. Il doit permettre au gouvernement de recueillir l’adhésion des professionnels sur les projections futures qu’il entend faire et sans l’engagement desquels l’avenir de la politique agricole serait largement compromis.
La politique publique répond à une double exigence : inscrire l’action publique en faveur du secteur agricole dans la durée et construire la légitimité des soutiens publics au monde rural dans le cadre contractuel entre les agriculteurs et la société polynésienne et ses représentants. Au-delà, elle garantit une meilleure visibilité sur l’action des pouvoirs publics et permet de contrôler leurs actions.
Ce sont pour ces raisons que la politique agricole pour la Polynésie française avait été arrêtée, pour la première fois, par l’actuel ministre en charge de l’agriculture, Frédéric Riveta, pour les années 2011 à 2020. Les quatre axes prioritaires étaient : tendre vers la souveraineté de la Polynésie française dans le domaine agricole, répondre aux attentes des citoyens et des consommateurs, valoriser tous les territoires ruraux et moderniser l’environnement institutionnel de l’agriculture. Par ailleurs, la politique agricole sur cette période contenait les plans de campagne établis filière par filière (maraichère, fruitière, vanille, cocotier, avicole, apicole…).
Toutefois, les différents changements ministériels au cours des dernières années n’ont pas permis l’application de ce programme. C’est pourquoi, le ministère en charge de l’agriculture et le service du développement rural ont travaillé à la réactualisation des objectifs et des moyens à mettre en œuvre pour une réalisation sur les années 2015 à 2020.
Parallèlement à la définition de cette politique publique, le COEPA a été créé afin d’assister le ministère, à titre consultatif, tant dans l’élaboration de cette politique que dans sa mise en œuvre ou dans son évaluation. Organe de conseil, d’évaluation et de prospection, le COEPA peut également être amené à rendre des recommandations ou des avis dans tous les domaines de l’agriculture.