Les ressources des Tuamotu et des Gambier sont en mauvaise posture, hormis la perliculture qui sort son épingle du jeu.
Dans une note publiée aujourd’hui mardi 22 juillet, l’IEOM (Institut d’émission d’outre-mer) diagnostique aussi bien les données sociales et économiques des deux archipels, que les principaux secteurs d’activité et leur financement, ainsi que les politiques d’aménagement et de développement. Sur le plan démographique, les deux archipels subissent un léger recul de la population, probablement lié à la faiblesse du marché de l’emploi dans la région.
En terme de ressources, l’IEOM parle d’une perliculture en « convalescence ». Après plusieurs années difficiles, l’industrie redémarre grâce au succès du GIE Poe O Rikitea et aux efforts des producteurs sur la qualité des produits. Les recettes d’exportations de perles brutes sont en hausse de 11% pour l’année 2013. La coprahculture se porte moins bien. Les prix sur le marché international sont au plus bas. Après une forte hausse en 2010 et 2011, le prix du coprah sur le marché international a été quasiment divisé par deux. La production survit grâce aux subventions du gouvernement. L’activité de pêche ne connait pas de véritable évolution. L’IEOM fait du tourisme « un potentiel à valoriser » et insiste sur l’amélioration des conditions de vie et des infrastructures de transport. Le projet aquacole de Hao, la recherche minière à Makatea et la réhabilitation des installations du CEP (Centre d’expérimentation du Pacifique) font partie des secteurs prometteurs. L’IEOM est une institution publique qui fait office de banque centrale pour les collectivités d’outre-mer du Pacifique, la Polynésie, Wallis-et-Futuna et la Nouvelle Calédonie. Sa principale mission est de réguler les flux monétaires en Francs Pacifique. Cette fonction permet à l’IEOM d’avoir une excellente vision de l’économie locale. Retrouvez l’intégralité du panorama des Tuamotu et des Gambier en pièce jointe.
Dans une note publiée aujourd’hui mardi 22 juillet, l’IEOM (Institut d’émission d’outre-mer) diagnostique aussi bien les données sociales et économiques des deux archipels, que les principaux secteurs d’activité et leur financement, ainsi que les politiques d’aménagement et de développement. Sur le plan démographique, les deux archipels subissent un léger recul de la population, probablement lié à la faiblesse du marché de l’emploi dans la région.
En terme de ressources, l’IEOM parle d’une perliculture en « convalescence ». Après plusieurs années difficiles, l’industrie redémarre grâce au succès du GIE Poe O Rikitea et aux efforts des producteurs sur la qualité des produits. Les recettes d’exportations de perles brutes sont en hausse de 11% pour l’année 2013. La coprahculture se porte moins bien. Les prix sur le marché international sont au plus bas. Après une forte hausse en 2010 et 2011, le prix du coprah sur le marché international a été quasiment divisé par deux. La production survit grâce aux subventions du gouvernement. L’activité de pêche ne connait pas de véritable évolution. L’IEOM fait du tourisme « un potentiel à valoriser » et insiste sur l’amélioration des conditions de vie et des infrastructures de transport. Le projet aquacole de Hao, la recherche minière à Makatea et la réhabilitation des installations du CEP (Centre d’expérimentation du Pacifique) font partie des secteurs prometteurs. L’IEOM est une institution publique qui fait office de banque centrale pour les collectivités d’outre-mer du Pacifique, la Polynésie, Wallis-et-Futuna et la Nouvelle Calédonie. Sa principale mission est de réguler les flux monétaires en Francs Pacifique. Cette fonction permet à l’IEOM d’avoir une excellente vision de l’économie locale. Retrouvez l’intégralité du panorama des Tuamotu et des Gambier en pièce jointe.