Les acheteurs semblaient très satisfaits et aimeraient même pouvoir revenir plus souvent : “ouvrez la pêche aux trocas chaque année”, a demandé devant les caméras Kim Soo Yiong, commerçant spécialisé. Mais pour Ella Tokoragi, responsable de l’insertion et de l’emploi à Faa’a, “il faut avant tout préserver nos ressources et n’ouvrir la pêche que tous les 3 ans voire même tous les 5 ans”.
Les trocas seront ensuite revendus en majorité dans des pays asiatiques sous forme d’objets d’artisanat et de bijouterie.
En 2013, 11 tonnes ont été vendues pour une valeur de 3 millions de Fcfp.