Dans le cadre des opérations de lutte liées au cas de chikungunya détecté en Polynésie française à la fin du mois de mai, une visite de contrôle ainsi qu’un traitement insecticide ont été réalisés le vendredi 30 mai par le Centre d’hygiène et de salubrité publique à l’aéroport de Tahiti-Faa’a.
Ces mesures s’ajoutent aux traitements insecticides régulièrement effectués par un prestataire dans la zone aéroportuaire ainsi qu’aux actions de gestion des gîtes à moustiques, mises en œuvre par le personnel chargé de l’entretien. Les services techniques de l’aéroport de Tahiti, de l’État et du Pays ont apporté leur aide pour l’organisation rapide des diverses manœuvres dans les salles d’embarquement, d’arrivée des passagers et d’arrivée des bagages.
L’objectif visé était d’empêcher une éventuelle propagation du virus au niveau de l’aéroport. Cette opération complète les pulvérisations d’insecticides effectuées sur Arue, Pirae et Mahina, et les visites à domicile pour l’élimination des gîtes à moustiques dans les zones susceptibles d’avoir été contaminées.
Des brochures seront prochainement distribuées à l’aéroport de Tahiti-Faa’a incitant les passagers arrivant en Polynésie à consulter au plus vite un médecin s’ils présentent des symptômes du chikungunya. Ces symptômes sont une fièvre élevée, des douleurs très fortes dans les articulations, principalement aux extrémités, associées à une raideur et à des douleurs musculaires.
La présidence précise dans un communiqué que la « vigilance et la surveillance active du ministère de la Santé et de l’ensemble des services de santé sont maintenues. Depuis le cas importé et détecté la semaine dernière (une personne arrivée récemment de Guadeloupe), aucun autre cas de chikungunya n’a été recensé à ce jour en Polynésie ».
Ces mesures s’ajoutent aux traitements insecticides régulièrement effectués par un prestataire dans la zone aéroportuaire ainsi qu’aux actions de gestion des gîtes à moustiques, mises en œuvre par le personnel chargé de l’entretien. Les services techniques de l’aéroport de Tahiti, de l’État et du Pays ont apporté leur aide pour l’organisation rapide des diverses manœuvres dans les salles d’embarquement, d’arrivée des passagers et d’arrivée des bagages.
L’objectif visé était d’empêcher une éventuelle propagation du virus au niveau de l’aéroport. Cette opération complète les pulvérisations d’insecticides effectuées sur Arue, Pirae et Mahina, et les visites à domicile pour l’élimination des gîtes à moustiques dans les zones susceptibles d’avoir été contaminées.
Des brochures seront prochainement distribuées à l’aéroport de Tahiti-Faa’a incitant les passagers arrivant en Polynésie à consulter au plus vite un médecin s’ils présentent des symptômes du chikungunya. Ces symptômes sont une fièvre élevée, des douleurs très fortes dans les articulations, principalement aux extrémités, associées à une raideur et à des douleurs musculaires.
La présidence précise dans un communiqué que la « vigilance et la surveillance active du ministère de la Santé et de l’ensemble des services de santé sont maintenues. Depuis le cas importé et détecté la semaine dernière (une personne arrivée récemment de Guadeloupe), aucun autre cas de chikungunya n’a été recensé à ce jour en Polynésie ».