> Du haut niveau
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Bruno Berberes le sait : le territoire est riche, culturellement, historiquement et artistiquement. S’il n’a pas d’attentes particulières, il pense que le niveau sera haut. » Je m’attends tout de même à un niveau de « ouf ». Tout le monde chante ici en Polynésie française. J’espère pouvoir repartir avec plein de chanteurs du coin en métropole. » Mais une fois cette nouvelle étape terminée, il faudra que les talents s’arment à de nouveau de patience.
> Une réponse fin août
Les auditions dans les autres territoires vont se poursuivre. La sélection sera faite aussi en fonction des autres talents sélectionnés. En Polynésie, ceux qui auront gagné un ticket pour Paris seront avertis par téléphone à la fin du mois d’août. Mais le directeur de casting promet : « Si je tombe amoureux samedi, il y a des chances pour que cela aille jusqu’au bout parce que je suis têtu et obstiné. »
Pour tomber amoureux, Bruno Berberes souhaite des talents qui permettront de faire découvrir à la France hexagonale une partie de la culture du fenua. L’an dernier, c’est la culture kanak qui a été mis en avant dans The Voice avec Gulaan. Le directeur de casting ajoute : « C’est un peuple qui a une histoire lourde. Il faut que les français l’entendent et sortent un peu du cliché, entre guillemets, Miss Tahiti… » Aux artistes polynésiens de faire de leur mieux.