Dans ce quartier, qui possède déjà de nombreux logements sociaux (résidences Teroma 2.1 et 2.2), trois chantiers sont en cours : La construction des résidences « les hauts de Teroma et « Teroma extension » et l’agrandissement du bâtiment « Teroma transit ».
La construction des « Hauts de Teroma » touche à sa fin. Cette résidence, dont les travaux ont démarré fin 2013, sera livrée en décembre de cette année. Elle comprend 60 logements répartis sur deux étages. Cette opération représente un budget total de 1,345 milliards Fcfp dont 1,105 milliards Fcfp financés par le Pays et 240 millions Fcfp financés par l’OPH (Office polynésien de l’habitat).
Le chantier de « Teroma extension », lui, débutera au mois d’octobre pour une durée de 15 mois. Le projet, qui prévoit la construction de 16 logements collectifs et d’une aire de jeux de 500 m², coûtera 395 millions Fcfp. Pour cette opération, l’Etat et le Pays participent à hauteur de 40 % chacun, soit 140 millions Fcfp et le reliquat est financé par l’OPH.
Enfin le dernier ce ces chantiers concerne la réhabilitation de l’immeuble « Teroma transit », un immeuble de 12 logements destinés à accueillir les familles nombreuses en passe d’être relogées. Le chantier de ce bâtiment édifié en 2009, visera à améliorer son étanchéité mais surtout agrandir sa capacité d’accueil en transformant les actuelles salles de jeux en quatre nouveaux logements. Des travaux d’un montant de 50 millions Fcfp.
Présent lors de cette visite, l’adjoint au maire de Faa’a, Robert Maker se félicite que « des familles nombreuses de Faa’a, qui vivent dans des conditions déplorables depuis pas mal d’années, puissent accéder à des logements décents. »
Il redoute pourtant les problèmes de sécurité que peuvent poser la concentration et l’isolement de ces logements sociaux. « L’expérience démontre, avec la livraison des logements de Motio (quartier Heiri à Faa’a NDLR) des interventions quasi quotidiennes, notamment en fin de semaine où des histoires de beuveries sont à l’origine de ces interventions de la Police municipale. »
Le tavana indique par ailleurs qu’au sein de la commune de Faa’a, « entre 1000 et 2000 familles sont toujours en attente d’un logement« .
La construction des « Hauts de Teroma » touche à sa fin. Cette résidence, dont les travaux ont démarré fin 2013, sera livrée en décembre de cette année. Elle comprend 60 logements répartis sur deux étages. Cette opération représente un budget total de 1,345 milliards Fcfp dont 1,105 milliards Fcfp financés par le Pays et 240 millions Fcfp financés par l’OPH (Office polynésien de l’habitat).
Le chantier de « Teroma extension », lui, débutera au mois d’octobre pour une durée de 15 mois. Le projet, qui prévoit la construction de 16 logements collectifs et d’une aire de jeux de 500 m², coûtera 395 millions Fcfp. Pour cette opération, l’Etat et le Pays participent à hauteur de 40 % chacun, soit 140 millions Fcfp et le reliquat est financé par l’OPH.
Enfin le dernier ce ces chantiers concerne la réhabilitation de l’immeuble « Teroma transit », un immeuble de 12 logements destinés à accueillir les familles nombreuses en passe d’être relogées. Le chantier de ce bâtiment édifié en 2009, visera à améliorer son étanchéité mais surtout agrandir sa capacité d’accueil en transformant les actuelles salles de jeux en quatre nouveaux logements. Des travaux d’un montant de 50 millions Fcfp.
Présent lors de cette visite, l’adjoint au maire de Faa’a, Robert Maker se félicite que « des familles nombreuses de Faa’a, qui vivent dans des conditions déplorables depuis pas mal d’années, puissent accéder à des logements décents. »
Il redoute pourtant les problèmes de sécurité que peuvent poser la concentration et l’isolement de ces logements sociaux. « L’expérience démontre, avec la livraison des logements de Motio (quartier Heiri à Faa’a NDLR) des interventions quasi quotidiennes, notamment en fin de semaine où des histoires de beuveries sont à l’origine de ces interventions de la Police municipale. »
Le tavana indique par ailleurs qu’au sein de la commune de Faa’a, « entre 1000 et 2000 familles sont toujours en attente d’un logement« .
Rédaction web (Interview Laure Philiber et Esther Parau Cordette)