Est-ce que le nombre de propriétaires a augmenté de manière significative ?
« Il y a deux types de propriétaires : il y a ceux qui veulent habiter dans un fare MTR. Il faut considérer qu’ils sont propriétaires puisqu’ils achètent un fare sur leur terrain à eux. On passe de 37 fare en 2014 comme cela à 250 cette année. Ensuite il y a dispositif de viabilisation des terres que nous lançons pour les iles : nous mettrons à disposition des terrains domaniaux pour construire des fare MTR dessus pour ensuite céder ces terrains. Il y a aussi habitats groupés à Tahiti. (…) On est aussi en train de voir pour Arue pour que le terrain de la mairie soit cédé au pays pour avancer vers l’accession à la propriété. »
Quels sont vos objectifs pour les prochaines années ?
« L’objectif est d’abord de construire durablement. On ne peut pas construire 200 fare tous les ans si on oublie de faire les études qui font démarrer un chantier dans 3 ans. Nous avons un plan pluriannuel de programmation qui va nous permettre de construire entre 200 à 300 fare par an. Nous allons aussi démultiplier les opérateurs pour construire des logements à destination d’une cible de deux ou trois SMIG. »
Vous comptez travailler avec l’union sociale pour l’habitat outre-mer, et anticiper davantage la construction de logements sociaux ?
« L’Union sociale de l’habitat Outre mer est un partenaire au niveau national. En novembre, nous organisons un colloque les 9, 10 et 11 avec tous les Outre mer. Ils viendront expliquer comment ils travaillent chez eux et nous pourrons organiser des passerelles entre notre opérateur OPH et ces opérateurs. »
Cela permettra quoi ?
« Cela permettra de découvrir que grâce à la Caisse de dépôt et de consignation qui est le bailleur national, on pourra accéder à des emprunts de très longue durée, de 40 ans, à moins de 1% ce qui va changer la donne au niveau des loyers d’équilibre et de la construction en Polynésie. »
Combien pourraient être construits dans les 5 ans ?
« Il y a 38 000 logements à construire en 20 ans.(…) Si déjà nous arrivons à en créer un millier par as avec tous les opérateurs que nous sommes en train de mettre en place, nous aurons atteint une grande partie de notre l’ambition de la Polynésie. »
Vous êtes le ministre des Affaires foncières : les investisseurs mexicains de Aquakita laissent encore 2 mois au pays pour leur faire une proposition de terrain pour leur projet de parc aquatique. Pourrez-vous tenir les délais ?
« Je ne sais pas si nous sommes aussi lourdement contraints par les Mexicains. Nous avons discuté lors d’un conseil des ministres. Nous pourrons mettre à disposition un terrain du domaine Atimaono à Papara. La balle est dans le camp des investisseurs, ils doivent nous dire si le terrain leur convient. Je ne suis pas en discussion directe avec eux. Je laisse le ministre de la Relance économique continuer à discuter avec ces investisseurs. »
Un mot sur le Mahana beach : quand les travaux vont-ils enfin commencer ?
« Avant de démarrer les travaux, il faut choisir parmi les trois sociétés qui ont été retenues, celle qui va porter le projet. Il y a une consultation qui se termine le 15 octobre. À partir du 15 décembre, nous signerons une lettre d’intention de construction de ce Mahana Beach avec la société retenue. »
« Il y a deux types de propriétaires : il y a ceux qui veulent habiter dans un fare MTR. Il faut considérer qu’ils sont propriétaires puisqu’ils achètent un fare sur leur terrain à eux. On passe de 37 fare en 2014 comme cela à 250 cette année. Ensuite il y a dispositif de viabilisation des terres que nous lançons pour les iles : nous mettrons à disposition des terrains domaniaux pour construire des fare MTR dessus pour ensuite céder ces terrains. Il y a aussi habitats groupés à Tahiti. (…) On est aussi en train de voir pour Arue pour que le terrain de la mairie soit cédé au pays pour avancer vers l’accession à la propriété. »
Quels sont vos objectifs pour les prochaines années ?
« L’objectif est d’abord de construire durablement. On ne peut pas construire 200 fare tous les ans si on oublie de faire les études qui font démarrer un chantier dans 3 ans. Nous avons un plan pluriannuel de programmation qui va nous permettre de construire entre 200 à 300 fare par an. Nous allons aussi démultiplier les opérateurs pour construire des logements à destination d’une cible de deux ou trois SMIG. »
Vous comptez travailler avec l’union sociale pour l’habitat outre-mer, et anticiper davantage la construction de logements sociaux ?
« L’Union sociale de l’habitat Outre mer est un partenaire au niveau national. En novembre, nous organisons un colloque les 9, 10 et 11 avec tous les Outre mer. Ils viendront expliquer comment ils travaillent chez eux et nous pourrons organiser des passerelles entre notre opérateur OPH et ces opérateurs. »
Cela permettra quoi ?
« Cela permettra de découvrir que grâce à la Caisse de dépôt et de consignation qui est le bailleur national, on pourra accéder à des emprunts de très longue durée, de 40 ans, à moins de 1% ce qui va changer la donne au niveau des loyers d’équilibre et de la construction en Polynésie. »
Combien pourraient être construits dans les 5 ans ?
« Il y a 38 000 logements à construire en 20 ans.(…) Si déjà nous arrivons à en créer un millier par as avec tous les opérateurs que nous sommes en train de mettre en place, nous aurons atteint une grande partie de notre l’ambition de la Polynésie. »
Vous êtes le ministre des Affaires foncières : les investisseurs mexicains de Aquakita laissent encore 2 mois au pays pour leur faire une proposition de terrain pour leur projet de parc aquatique. Pourrez-vous tenir les délais ?
« Je ne sais pas si nous sommes aussi lourdement contraints par les Mexicains. Nous avons discuté lors d’un conseil des ministres. Nous pourrons mettre à disposition un terrain du domaine Atimaono à Papara. La balle est dans le camp des investisseurs, ils doivent nous dire si le terrain leur convient. Je ne suis pas en discussion directe avec eux. Je laisse le ministre de la Relance économique continuer à discuter avec ces investisseurs. »
Un mot sur le Mahana beach : quand les travaux vont-ils enfin commencer ?
« Avant de démarrer les travaux, il faut choisir parmi les trois sociétés qui ont été retenues, celle qui va porter le projet. Il y a une consultation qui se termine le 15 octobre. À partir du 15 décembre, nous signerons une lettre d’intention de construction de ce Mahana Beach avec la société retenue. »