La tendance de l’accidentalité de 2016 ne varie pas. Comme lors des mois précédent on assiste – en octobre – aux mêmes phénomènes statistiques que les neuf premiers mois de l’année : le nombre d’accident est en baisse, mais le nombre de blessés et surtout de morts est en hausse sensible.
Avec 22 morts depuis le 1er janvier, l’année 2016 finira d’ores et déjà moins bien que 2014 et 2015 au cours desquels 17 personnes avaient trouvé la mort sur les routes du fenua.
Ce retour en force des accidents mortels illustre, selon le haut-commissariat qui compile les chiffres, « le retour de certains comportements particulièrement dangereux ». Selon les forces de l’ordre, l’analyse des accidents mortels constatés de janvier à octobre 2016 fait apparaître que l’alcool, la jeunesse et l’usage des deux-roues sont les principaux facteurs d’accidents graves : 60% des tués sont des usagers de deux-roues, 30% des tués sont des jeunes de moins de 25 ans, et 70% des accidents mortels sont liés à l’alcool et/ou aux stupéfiants.
Un contexte qui a amené les gendarmes et la police à renforcer les contrôles routiers, « en vue de réprimer les auteurs d’infractions comportementales, en ciblant particulièrement le contrôle des deux-roues, ainsi que la consommation d’alcool et de stupéfiants ». Depuis le début de l’année, 1 555 conducteurs ont été contrôlés en état d’ébriété, ou positifs aux stupéfiants, 2395 conducteurs ont été contrôlés en excès de vitesse, 1 045 conducteurs ont été contrôlés sans permis de conduire, 2 260 conducteurs ont été contrôlés pour défaut de ceinture de sécurité, et 600 usagers de deux-roues ont été contrôlés pour défaut de port du casque.
Seul vrai point positif la baisse régulière du nombre d’accident. De plus de 300 par an il y a dix ans, on est passé sous la barre des 150 par an en 2015. Au 31 octobre de cette année, on en comptabilise 127, soit 6 de moins qu’en 2015 sur la même période (- 4,5%). Le nombre de blessés, lui, est en très légère augmentation : 167 (166 l’an dernier, + 0,6%).
Avec 22 morts depuis le 1er janvier, l’année 2016 finira d’ores et déjà moins bien que 2014 et 2015 au cours desquels 17 personnes avaient trouvé la mort sur les routes du fenua.
Ce retour en force des accidents mortels illustre, selon le haut-commissariat qui compile les chiffres, « le retour de certains comportements particulièrement dangereux ». Selon les forces de l’ordre, l’analyse des accidents mortels constatés de janvier à octobre 2016 fait apparaître que l’alcool, la jeunesse et l’usage des deux-roues sont les principaux facteurs d’accidents graves : 60% des tués sont des usagers de deux-roues, 30% des tués sont des jeunes de moins de 25 ans, et 70% des accidents mortels sont liés à l’alcool et/ou aux stupéfiants.
Un contexte qui a amené les gendarmes et la police à renforcer les contrôles routiers, « en vue de réprimer les auteurs d’infractions comportementales, en ciblant particulièrement le contrôle des deux-roues, ainsi que la consommation d’alcool et de stupéfiants ». Depuis le début de l’année, 1 555 conducteurs ont été contrôlés en état d’ébriété, ou positifs aux stupéfiants, 2395 conducteurs ont été contrôlés en excès de vitesse, 1 045 conducteurs ont été contrôlés sans permis de conduire, 2 260 conducteurs ont été contrôlés pour défaut de ceinture de sécurité, et 600 usagers de deux-roues ont été contrôlés pour défaut de port du casque.
Seul vrai point positif la baisse régulière du nombre d’accident. De plus de 300 par an il y a dix ans, on est passé sous la barre des 150 par an en 2015. Au 31 octobre de cette année, on en comptabilise 127, soit 6 de moins qu’en 2015 sur la même période (- 4,5%). Le nombre de blessés, lui, est en très légère augmentation : 167 (166 l’an dernier, + 0,6%).
Bertrand Parent
