Ce vendredi matin, le président de la Polynésie française, Edouard Fritch a procédé à l’inauguration de la Maison de l’enfance de Punaauia en présence du Haut-commissaire, Lionel Beffre, de membres du gouvernement, et du maire de la commune de Punaauia, Rony Tumahai.
Dans son discours d’inauguration, le président a insisté sur les nouveaux besoins des familles polynésiennes, qui sont étroitement liés à l’évolution de la société, et sur les réponses que le gouvernement apporte à ce sujet : »Il est de notre rôle d’élus d’adapter les besoins de notre société à l’évolution des modes de vie. Or, pour combattre les maux générés par ceux-ci, dont nous savons qu’ils sont vecteurs d’inégalités, il nous fallait nécessairement une politique forte, une politique qui nous permette d’agir le plus tôt possible, dès le plus jeune âge. Et avec cette politique, la disposition d’outils tels que cette maison de l’enfance ».
Dans son discours d’inauguration, le président a insisté sur les nouveaux besoins des familles polynésiennes, qui sont étroitement liés à l’évolution de la société, et sur les réponses que le gouvernement apporte à ce sujet : »Il est de notre rôle d’élus d’adapter les besoins de notre société à l’évolution des modes de vie. Or, pour combattre les maux générés par ceux-ci, dont nous savons qu’ils sont vecteurs d’inégalités, il nous fallait nécessairement une politique forte, une politique qui nous permette d’agir le plus tôt possible, dès le plus jeune âge. Et avec cette politique, la disposition d’outils tels que cette maison de l’enfance ».
La Maison de l’enfance a pu voir le jour à la faveur d’un partenariat Etat-Pays acté dans le cadre du contrat de développement. Signée le 23 juillet 2009, la convention de financement, d’un montant total de 710 millions Fcfp engageait respectivement l’Etat et le Pays à hauteur de 466 186 000 Fcfp et 243 814 000 Fcfp.Elle doit permettre la construction de cinq structures sur des terres domaniales ou municipales dans les communes s’inscrivant à ce projet. Sont concernées les communes de Faa’a, dont la Maison de l’enfance a ouvert ses portes en 2013, Punaauia, Taravao, Uturoa et Taiohae.
La gestion et la coordination de ces maisons est garantie par l’établissement public Fare Tama Hau.La Polynésie française a par ailleurs fait adopter une autorisation de programme d’un montant de 44 millions de Fcfp, destinée à permettre la mise en état de ces structures avant leur ouverture, qui se voient en outre allouer une enveloppe de 40 millions de Fcfp pour leur fonctionnement.La Caisse de prévoyance sociale a, pour sa part, financé l’acquisition du matériel pédagogique sur son fonds de prévention.
Quant à la commune de Punaauia, elle a, de son côté, rendu ce projet possible en garantissant l’apport du terrain d’accueil de cette structure inédite, dimensionnée pour accueillir 35 enfants, dans un lieu clairement identifié, aisément accessible et non stigmatisant.
Entièrement dédiée aux familles et aux enfants de Punaauia, la Maison de l’enfance, qui se voit assigner une mission préventive, leur propose un espace d’échange intergénérationnel, où chacun pourra bénéficier, auprès de professionnels, d’une écoute et d’un accompagnement personnalisés.
« C’est en effet en agissant de façon préventive sur les facteurs socio-environnementaux, en soutenant et en valorisant les parents dans leur rôle et fonctions, que nous réussirons à gommer les inégalités sociales, à rétablir le lien communautaire cher à notre pays, et à préparer nos enfants à devenir des adultes responsables et aptes à prendre la place qui leur revient dans notre société », a déclaré Edouard Fritch.
Le président a exprimé son attachement à la réussite de ce projet qui forgera la Polynésie de demain, « en transcendant les barrières institutionnelles, en disant non à la fatalité, non au renoncement, nous avons su donner vie à un projet prometteur pour l’avenir notre Pays, un Pays pour lequel l’égalité des chances n’est pas un vain mot ». « Le progrès d’une société ne s’évalue pas uniquement au regard de ses avancées techniques et économiques. Il s’apprécie à sa capacité de les faire partager par tous », a souligné le président.
La gestion et la coordination de ces maisons est garantie par l’établissement public Fare Tama Hau.La Polynésie française a par ailleurs fait adopter une autorisation de programme d’un montant de 44 millions de Fcfp, destinée à permettre la mise en état de ces structures avant leur ouverture, qui se voient en outre allouer une enveloppe de 40 millions de Fcfp pour leur fonctionnement.La Caisse de prévoyance sociale a, pour sa part, financé l’acquisition du matériel pédagogique sur son fonds de prévention.
Quant à la commune de Punaauia, elle a, de son côté, rendu ce projet possible en garantissant l’apport du terrain d’accueil de cette structure inédite, dimensionnée pour accueillir 35 enfants, dans un lieu clairement identifié, aisément accessible et non stigmatisant.
Entièrement dédiée aux familles et aux enfants de Punaauia, la Maison de l’enfance, qui se voit assigner une mission préventive, leur propose un espace d’échange intergénérationnel, où chacun pourra bénéficier, auprès de professionnels, d’une écoute et d’un accompagnement personnalisés.
« C’est en effet en agissant de façon préventive sur les facteurs socio-environnementaux, en soutenant et en valorisant les parents dans leur rôle et fonctions, que nous réussirons à gommer les inégalités sociales, à rétablir le lien communautaire cher à notre pays, et à préparer nos enfants à devenir des adultes responsables et aptes à prendre la place qui leur revient dans notre société », a déclaré Edouard Fritch.
Le président a exprimé son attachement à la réussite de ce projet qui forgera la Polynésie de demain, « en transcendant les barrières institutionnelles, en disant non à la fatalité, non au renoncement, nous avons su donner vie à un projet prometteur pour l’avenir notre Pays, un Pays pour lequel l’égalité des chances n’est pas un vain mot ». « Le progrès d’une société ne s’évalue pas uniquement au regard de ses avancées techniques et économiques. Il s’apprécie à sa capacité de les faire partager par tous », a souligné le président.