Le tribunal a estimé que les requérants avaient acquis leurs parcelles « de personnes qui n’en étaient pas elles-mêmes propriétaires, ce qui remet nécessairement en cause la qualité de propriétaire apparent résultant de leurs titres de propriété ».
La juridiction a donc considéré que le service de l’Urbanisme était fondé à rejeter leurs demandes de délivrance d’un permis de construire. Pour l’heure, la situation reste par conséquent figée sur les hauteurs de Punaauia.
J-B. C.