« L’activité de perliculture est génératrice de déchets, eux-mêmes sources de pollutions olfactives, visuelles et environnementales. Essentiellement issus de l’activité professionnelle, ces déchets sont immergés ou stockés à terre (paniers et collecteurs en propylène, bouées en ABS16, filins en nylon, sacs de sable, etc) ; ils peuvent aussi être la conséquence de la construction de fermes d’exploitation et d’habitations sur pilotis au sein même du lagon », explique le groupement dans son communiqué.
« Le rejet de macro-déchets plastiques dans l’environnement représente un impact majeur de la perliculture d’autant plus que, outre l’environnement, la santé publique est également concernée.
C’est dans ce contexte d’état des lieux de la pollution des milieux naturels par ces déchets et de recherche de pratiques et de gestion plus vertueuses qu’Elcimaï Environnement a été chargé d’élaborer un plan de gestion des déchets perlicoles en Polynésie française. Le lien de dépendance entre l’environnement et la perliculture doit rendre cette démarche de développement durable garante de la qualité des perles produites et de la pérennité de la filière.
– PUBLICITE –
Précisément, Elcimaï Environnement va apporter son expertise à PAE TAI PAE UTA, un bureau d’étude basé en Polynésie avec lequel il collabore depuis plusieurs années qui est mandataire de la mission, ainsi qu’à VERTIGO LAB. Forte de ses connaissances techniques dans le domaine de la perliculture en particulier, et de l’aquaculture en général, l’équipe ainsi constituée entend apporter à la mission son approche pluridisciplinaire : environnementale, humaine et économique. »