Ancien mannequin, venant d’une famille de cuisiniers, c’est tout naturellement que Lucie se retrouve elle aussi en cuisine. Grande gourmande, elle a suivi des cours de pâtisserie fine pendant 2 ans avec Christophe Michalac, un des chefs pâtissiers les plus réputés de France. Elle est donc arrivée ici avec un sacré bagage. Cette amoureuse de saveurs sucrées a décidé de se lancer dans l’aventure avec son compagnon, originaire de Moorea.
« J’ai appris la pâtisserie à Paris. C’était un marché qui est déjà pris alors qu’à Moorea il y a tout à faire. J’ai envie d’apporter une pâtisserie fine et différente de ce qu’ils ont l’habitude de manger tout en travaillant les fruits locaux et en gardant tout le sucre des fruits pour sucrer mes pâtisseries et enlever le sucre qu’on a l’habitude de trouver dans les chantilly ou autre », explique Lucie.
Moins de sucre, plus de fruits locaux et surtout plus de goût. C’est surtout ça qui plait.
« C’est la deuxième fois que je viens. J’ai goûté le caramel la dernière fois et c’était très très bon, très goûteux. Ce n’est pas trop sucré non plus, pas trop riche, c’est vraiment léger », témoigne Talia Braice, touriste canadienne.
« C’est vraiment différent des autres pâtissiers qu’on trouve à Moorea. C’est léger, raffiné et puis ça change vraiment des forêts-noires, Mimosas… Là on peut voir autre chose et découvrir vraiment de très bonnes pâtisseries », s’extasie Hekeani Richerd, lycéenne.
Se démarquer des autres pâtissiers, c’était aussi son but. Et ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est faire travailler son imagination.
« Je me sers de ma créativité en associant la recette d’un biscuit que j’ai appris en cours là bas avec une crème. J’ai une touche toujours très « girly » sur mes biscuits, sur mes pâtisseries. Je ne pense pas que ça changera. J’ai du mal à rester dans le sobre et surtout dans le classique. J’aime beaucoup revisiter et que ça soit très actuel », assure la jeune femme.
Et pour être encore plus créative, elle change sa carte tous les mois, en adaptant même certains gâteaux pour ses clients, intolérants au gluten.
« J’ai appris la pâtisserie à Paris. C’était un marché qui est déjà pris alors qu’à Moorea il y a tout à faire. J’ai envie d’apporter une pâtisserie fine et différente de ce qu’ils ont l’habitude de manger tout en travaillant les fruits locaux et en gardant tout le sucre des fruits pour sucrer mes pâtisseries et enlever le sucre qu’on a l’habitude de trouver dans les chantilly ou autre », explique Lucie.
Moins de sucre, plus de fruits locaux et surtout plus de goût. C’est surtout ça qui plait.
« C’est la deuxième fois que je viens. J’ai goûté le caramel la dernière fois et c’était très très bon, très goûteux. Ce n’est pas trop sucré non plus, pas trop riche, c’est vraiment léger », témoigne Talia Braice, touriste canadienne.
« C’est vraiment différent des autres pâtissiers qu’on trouve à Moorea. C’est léger, raffiné et puis ça change vraiment des forêts-noires, Mimosas… Là on peut voir autre chose et découvrir vraiment de très bonnes pâtisseries », s’extasie Hekeani Richerd, lycéenne.
Se démarquer des autres pâtissiers, c’était aussi son but. Et ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est faire travailler son imagination.
« Je me sers de ma créativité en associant la recette d’un biscuit que j’ai appris en cours là bas avec une crème. J’ai une touche toujours très « girly » sur mes biscuits, sur mes pâtisseries. Je ne pense pas que ça changera. J’ai du mal à rester dans le sobre et surtout dans le classique. J’aime beaucoup revisiter et que ça soit très actuel », assure la jeune femme.
Et pour être encore plus créative, elle change sa carte tous les mois, en adaptant même certains gâteaux pour ses clients, intolérants au gluten.
(Reportage : Sophie Silberfeld)
Le reportage de Sophie Silberfeld