Dans un premier temps, les raisons de cette fermeture n’ont pas été annoncées. L’organisatrice du festival de street-art, Sarah Roopinia, restait injoignable. Ce vendredi, à nouveau sur la page Facebook de Onou Tahiti, on apprend que le temps et les coûts de fonctionnement d’un tel musée sont à l’origine de cette décision.
« Notre équipe est constituée de passionnés bénévoles qui ne perçoivent aucun revenu de cette activité et qui ont offert leur temps, leur énergie, leur compétence (et même par moment investi de leur argent personnel) pour permettre l’existence de ce lieu innovant à Papeete. Ce n’est pas un établissement subventionné. Depuis sa création en 2016, le musée du street art de Tahiti ne perçoit aucune subvention ni aucune aide financière publique et à dû prendre à sa charge le loyer mensuel de l’espace, les travaux de mise en conformité et d’aménagement, les achats de matériel et de mobilier divers, les frais d’entretien, d’assurances etc. »
Horaires : ouvert du lundi au vendredi de 10h à 16h.
Entrée : 500 francs.