L’ouvrage, d’une centaine de mètres, permettra aux poids lourds de circuler avec davantage de chargements. Jusqu’à 75 tonnes contre 35 actuellement. Le port autonome, à l’initiative de ces travaux, a dû s’adapter à des contraintes techniques spécifiques.
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Les pieux qui vont soutenir le deuxième pont de Motu Uta, prennent place, progressivement, à côté de l’ouvrage existant construit en 1965.
Constitué de quatre travées de 24 mètres chacune, le futur pont sera installé sur 10 pieux en acier. L’un des conducteurs de travaux explique :
« Ce sont des opérations très techniques et ça demande des spécialistes. Boyer a fait venir des spécialistes de métropole pour réaliser ces opérations. »
L’ouvrage final mesurera une centaine de mètres et sera constitué d’une voie unique de sortie de quatre mètres.
Les travaux devraient s’achever à la fin de l’année pour une mise en service début 2019.
Rédaction web avec Laure Philiber