“Effectivement, il y a une demande au niveau de la jeunesse de Moorea qui voudraient pouvoir profiter de la vie nocturne de Tahiti.” Hiro Kelley, président du GIE Moorea tourisme
Les bateaux sont déjà équipés pour une navigation de nuit, mais il faudrait embaucher du personnel supplémentaire : une vingtaine d’employés en horaire de nuit, des agents de sécurités et ceux du Port autonome. Le billet coûterait alors le double du prix actuel. “C’est beaucoup de contraintes vis-à-vis des équipages, des autorités, et du port autonome, et aussi par rapport au taux de remplissage” explique le gérant de la compagnie Terevau. Il faudrait 200 passagers par trajets pour que le Terevau rentre dans ses frais.
Rédaction web