Pour le ministre, le festival de ukulele a un peu tendance à être oublié : « Il y a le record du monde, mais il ne faut pas oublier le festival du ukulele qui va être organisé tous les trois ans pour promouvoir un instrument que nous avons récupéré des Portugais, certes, mais que nous avons transformé et qui est devenu un instrument polynésien, à la fois hawaïen et Tahitien. »
– PUBLICITE –
Un festival tous les trois ans
Selon le ministre, pérenniser ce festival est une solution pour faire rayonner le fenua à l’international. » Nous avons de très grands joueurs de ukulele qui méritent d’être promus à l’étranger. (…) je pense que le ukulele, plus que la guitare, la basse ou la batterie est un domaine où nous excellons, et il peut être un instrument de promotion à l’international de nos artistes, mais aussi de notre fenua » explique Heremoana Maamaatuaiahutapu.
Le ministre se réjouit également des conséquences économiques que la tentative de record du monde de ukulele rapporte au fenua : « Nous avons gagné au niveau populaire, au niveau économique (..) je pense que nous sommes tout à fait capables d’organiser des événements internationaux dans tous les domaines. Mais si on veut se faire remarquer, il faut rester dans nos spécificités, dans les domaines où nous excellons et se battre à armes égales. N’oublions pas que nous sommes petits… «