L’huilerie de Tahiti entame son 40ème jour de grève. Les syndicats réclament toujours l’octroi d’un treizième mois, la suppression des caméras de surveillance, et l’extension des heures de nuit. Hier matin, les négociations ont une nouvelle fois échoué.
L’angoisse monte chez les 10 000 familles de coprahculteurs : l’huilerie a indiqué qu’elle n’achetait plus leur production. Les armateurs, les éleveurs ou la filaire monoï sont aujourd’hui en danger.