Les riverains du quartier situé à droite de l’Uranie, aux portes de Papeete, sont inquiets. Ils redoutent d’emprunter la route qui jouxte la nouvelle résidence installée à l’entrée de la capitale.
La route, dégradée, est en partie effondrée sur l’un des bas-côtés. De nombreux cailloux et nids de poule la jonchent. À chaque pluie, la chaussée se détériore davantage.
Propriétaires, résidents et usagers craignent un incident, notamment pour les piétons et deux-roues. Ils souhaitent tous que l’ouvrage soit sécurisé, mais peinent à s’entendre pour réparer cette route.
Les propriétaires initiaux de la zone, la famille de Francis Sanford, ont bien trouvé un accord l’an dernier avec le promoteur de la nouvelle résidence, à savoir que ce dernier paierait 70% des charges et les autres propriétaires les 30% restants.
« Nous avons versé une bonne partie des 30%, indique Mahine Juventin, membre de la famille Sanford, propriétaire d’une partie du quartier, mais aujourd’hui il reste quelques difficultés à ce niveau-là… On espère que la raison va l’emporter pour les gens qui habitent autour, de se dire qu’il faut aussi contribuer. Ce n’est pas que le fait de la nouvelle résidence, mais c’est pour tout le monde qui habite dans le quartier. »
Joint par téléphone, le promoteur de la nouvelle résidence située en bas de cette route indique que la chaussée était déjà dégradée avant l’installation de son bâtiment, et qu’il tente de régler le problème depuis plusieurs mois. Des études et rapports ont d’ailleurs été rendus. Les écoulements de pluie et la taille restreinte des buses d’évacuation des eaux en amont seraient d’après lui responsables de l’état de la route.
Il souhaitait entreprendre des travaux de sécurisation sur le tronçon situé en face de sa résidence, mais l’expert mandaté indique qu’il faut d’abord traiter le problème en amont. Des travaux généraux vont être lancés dans les jours qui viennent.
Mais le promoteur prévient : il n’assumera pas tous les frais. Il va mettre en responsabilité l’ensemble des propriétaires de la zone.
La route, dégradée, est en partie effondrée sur l’un des bas-côtés. De nombreux cailloux et nids de poule la jonchent. À chaque pluie, la chaussée se détériore davantage.
Propriétaires, résidents et usagers craignent un incident, notamment pour les piétons et deux-roues. Ils souhaitent tous que l’ouvrage soit sécurisé, mais peinent à s’entendre pour réparer cette route.
Les propriétaires initiaux de la zone, la famille de Francis Sanford, ont bien trouvé un accord l’an dernier avec le promoteur de la nouvelle résidence, à savoir que ce dernier paierait 70% des charges et les autres propriétaires les 30% restants.
« Nous avons versé une bonne partie des 30%, indique Mahine Juventin, membre de la famille Sanford, propriétaire d’une partie du quartier, mais aujourd’hui il reste quelques difficultés à ce niveau-là… On espère que la raison va l’emporter pour les gens qui habitent autour, de se dire qu’il faut aussi contribuer. Ce n’est pas que le fait de la nouvelle résidence, mais c’est pour tout le monde qui habite dans le quartier. »
Joint par téléphone, le promoteur de la nouvelle résidence située en bas de cette route indique que la chaussée était déjà dégradée avant l’installation de son bâtiment, et qu’il tente de régler le problème depuis plusieurs mois. Des études et rapports ont d’ailleurs été rendus. Les écoulements de pluie et la taille restreinte des buses d’évacuation des eaux en amont seraient d’après lui responsables de l’état de la route.
Il souhaitait entreprendre des travaux de sécurisation sur le tronçon situé en face de sa résidence, mais l’expert mandaté indique qu’il faut d’abord traiter le problème en amont. Des travaux généraux vont être lancés dans les jours qui viennent.
Mais le promoteur prévient : il n’assumera pas tous les frais. Il va mettre en responsabilité l’ensemble des propriétaires de la zone.
Rédaction web avec Laure Philiber et Jeanne Tinorua