Huit points de revendications sur 10 ont trouvé un accord, concernant le préavis de grève déposé mardi dernier par le syndicat O Oe To Oe Rima dans les quatre hôtels InterContinental de Polynésie.
Parmi les deux points restant à élucider, celui du déplafonnement de l’ancienneté est au point mort. Pour le syndicat, c’est un sujet qu’il est urgent d’étudier et en rapport direct avec la réforme de la PSG.
« Aujourd’hui, l’ancienneté est plafonnée à 25 ans, même si tu fais 30 ans ou 35 ans de service, explique le leader du syndicat, Atonia Teriinohoarai. Nous, tout ce qu’on demande, c’est de déplafonner jusqu’à 38 ans, nombre d’années pendant lesquelles ils devront travailler, pour que tout ce monde-là puisse avoir leur pouvoir d’achat, parce qu’ils n’ont pas un salaire énorme. Donc ça, ça viendrait combler le manque à gagner des salariés. »
Seconde revendication qui doit encore être négociée, le délai de carence. Aujourd’hui, un employé travaillant dans l’hôtellerie ne peut se permettre de tomber malade plus de 2 fois par an. À partir du troisième arrêt, il se verra retirer trois jours de salaire à chaque arrêt maladie. Les employés demandent un traitement équitable par rapport à la fonction publique, qui n’est pas soumise à ce délai de carence.
Selon le syndicat O Oe To Oe Rima, près de 68 % du personnel des hôtels InterContinental de Tahiti, Moorea et Bora Bora sont en grève. Mardi, une énième réunion est prévue entre les délégués syndicaux et la direction. Si aucun accord n’est trouvé, le mouvement de grève pourrait se durcir.
Parmi les deux points restant à élucider, celui du déplafonnement de l’ancienneté est au point mort. Pour le syndicat, c’est un sujet qu’il est urgent d’étudier et en rapport direct avec la réforme de la PSG.
« Aujourd’hui, l’ancienneté est plafonnée à 25 ans, même si tu fais 30 ans ou 35 ans de service, explique le leader du syndicat, Atonia Teriinohoarai. Nous, tout ce qu’on demande, c’est de déplafonner jusqu’à 38 ans, nombre d’années pendant lesquelles ils devront travailler, pour que tout ce monde-là puisse avoir leur pouvoir d’achat, parce qu’ils n’ont pas un salaire énorme. Donc ça, ça viendrait combler le manque à gagner des salariés. »
Seconde revendication qui doit encore être négociée, le délai de carence. Aujourd’hui, un employé travaillant dans l’hôtellerie ne peut se permettre de tomber malade plus de 2 fois par an. À partir du troisième arrêt, il se verra retirer trois jours de salaire à chaque arrêt maladie. Les employés demandent un traitement équitable par rapport à la fonction publique, qui n’est pas soumise à ce délai de carence.
Selon le syndicat O Oe To Oe Rima, près de 68 % du personnel des hôtels InterContinental de Tahiti, Moorea et Bora Bora sont en grève. Mardi, une énième réunion est prévue entre les délégués syndicaux et la direction. Si aucun accord n’est trouvé, le mouvement de grève pourrait se durcir.
Rédaction web avec Naea Bennett et Jeanne Tinorua-Tehuritaua